ingénieur retraité, syndicaliste, ancien président de la commission des affaires européennes du Conseil Economique et Social d'Ile de France, responsable associatif, militant de la langue française..et de l'espéranto.
Votre commentaire met le doigt sur le spécieux du propos initial, au demeurant bien documenté (peut-être un peu pessimiste sur les 2 millions de locuteurs de l’espéranto).
En effet, le cinéma n’est pas un langage. C’est un moyen de communication, comme le furent les fastes de la cour de Louis XIV, s’appuyant successivement sur la danse, la musique, le théâtre, la religion.
A preuve, qui pourrait faire un sujet filmé de la dissertation de l’enfoiré ?
Si vraiment l’auteur de ce texte souhaite le voir débattu internationalement, à défaut d’universellement, le mieux est qu’il le rédige effectivement en espéranto. Les (un peu plus de ..) 2 millions d’espérantistes, présents pratiquement dans tous les pays, assureront cette discussion internationale. Un film, lui, en s’appuyant sur les attitudes, mimiques, etc (qui sont pour la plupart innées et communes à tous les hommes, diverses études l’ont montré) peut effectivement prétendre à l’universalité.
Do, se Agoravox volus internaciiĝi , ĝi fakte kreu esperantan retdiskuton. Mi pretas ! (avec simplement 50 heures d’espéranto).
Oui, l’espéranto a un problème (et un seul) : il n’est la langue d’aucune puissance
économique. Voyez le sort des langues locales....qui, pourtant, sont
parfois nationales, ou reconnues par leur nation....
Mais l’Europe a un problème.....de communication. La conjonction de ces
deux problèmes fait ...deux solutions (ce que certains peuvent
d’ailleurs juger comme dangereux pour l’espéranto, qui deviendrait alors
un « objet » de la puissance européenne....)