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Roberto Gac

Roberto Gac

Je suis né à Santiago du Chili, le 2 décembre 1941. Médecin-psychiatre, j'ai quitté la pratique de ma profession très tôt, en 1968, lorsque je faisais partie de l'équipe du Colombus Hospital à Manhattan, New York. Depuis lors, je me consacre uniquement à la littérature. Mon but est le dépassement du roman comme genre littéraire tributaire de la technologie séculaire de l'imprimerie, pour développer, à sa place, un nouveau genre littéraire -"l'intertexte"-, polymorphe, polyglotte et polytextuel, genre rendu possible par les nouvelles technologies électroniques.

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  • Premier article le 13/10/2011
  • Modérateur depuis le 26/12/2011
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Derniers commentaires



  • Roberto Gac Roberto Gac 10 novembre 2011 12:47

    Pas grand chose, Monsieur. En tout cas, scientifiquement parlant, car le contexte ne le permet pas : Agoravox n’est pas un cabinet médical ni un laboratoire. Mon « diagnostic à deux balles » comme vous dites, n’en est pas un, mais un simple regard teinté d’ironie sur une affaire que beaucoup de gens, pour des raisons de tout ordre, tentent d’alourdir et de déformer. Tout au plus, je me permettrai de vous recommander la lecture du « Portrait d’un Psychiatre Incinéré » où j’utilise la fiction littéraire pour faire la critique de la psychologie et de la psychiatrie conventionnelles m’appuyant sur la connaissance de la psyché développée en Orient, connaissance beaucoup plus profonde et précise qu’en Occident. 



  • Roberto Gac Roberto Gac 9 novembre 2011 23:25

    Alors, Monsieur, lisez sur Sens Public « Something’s wrong dit l’Indien Huenchuyán », nouvelle sur les Mapuches, inspirée par une citation du Marquis de Sade sur le Chili. 

    http://www.sens-public.org/spip.php?article473



  • Roberto Gac Roberto Gac 9 novembre 2011 19:12

    Monsieur, Agoravox ne censure pas, car la liberté d’expression est l’un de ses piliers. Mais -vous le savez aussi bien que moi- il y a un certain nombre de règles à respecter pour que le dialogue entre des gens comme nous puisse avoir lieu dans la clarté et la dignité. Je considère cela comme un grand privilège offert par un média décidément différent des autres. Ne gâchons donc pas cet espace de culture par des invectives et des insultes inutiles.



  • Roberto Gac Roberto Gac 9 novembre 2011 18:52

    Effectivement, Monsieur, j’ai voulu apporter une vision sur l’affaire DSK à partir de l’art et de la culture, vision un peu plus originale que celle des innombrables articles politiciens qui se cumulent sur le sujet. C’est la raison pour laquelle vous avez trouvé mon texte dans la rubrique « culture » de Agoravox et non dans la section politique ou juridique. Bien sûr, je regrette votre affliction.



  • Roberto Gac Roberto Gac 18 octobre 2011 19:16

    Très intéressant ce que vous dites , Monsieur. Parlant de bibliothèques à transporter, on pourrait dire qu’un Intertexte est à lui tout seul une bibliothèque. Par exemple, dans l’édition électronique de La Société des Hommes Célestes (encore en développement sur mon site web), les chiffres des notes disséminées tout au long du texte renvoient automatiquement aux citations faustiennes aussi bien dans leur langue d’origine que dans leur traduction française, accompagnées des références sur les auteurs. Une autre textualité se tisse en-dessous du texte en surface, lui apportant une solide base littéraire et multipliant sa signification. L’Intertexte est donc beaucoup plus riche que le texte lisse et monotone du roman conventionnel.
    Quant à la langue française, je l’ai utilisée sciemment pour développer l’Intertexte car c’est au sein de la littérature française que le roman a été le plus contesté, d’abord par Breton et les surréalistes, puis par Butor et les auteurs du Nouveau Roman, ensuite par les snobs du Roman Tel Quel. Pour moi le français est la langue par excellence de la littérature narrative, ce que Dante disait déjà dans « De Vulgari Eloquentia » à propos de la « langue d’oïl ».

    Meilleures salutations.

    Roberto Gac


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