« Des
copier-coller un peu partout ». Ah bon ? Des « copier-coller » ?
Et où ça « un peu partout » ?
« Bé Habba qui vous accuse de plagiat pour ce nouvel article ». Ah ?
C’est bizarre, je n’ai eu aucun contact de ce Monsieur disant son
mécontentement. Pourtant, il est facile de m’écrire directement.
Ne serait-ce pas plutôt VOUS qui avez lancé cette rumeur infondée de
plagiat ? Ne serait-ce pas plutôt VOUS qui continuez votre acharnement déplacé contre
moi en lançant cette nouvelle attaque ?
Je constate une fois de plus votre propension à exagérer, à
déformer les choses, à ne parler que de ce qui vous arrange, et à occulter ce
qui vous dérange ou dessert vos desseins.
Car pour le soi-disant plagiat, j’ai déjà répondu très clairement.
Cela ne s’applique pas ici.
A mon tour de vous poser une question : Avant que
je mette en ligne cette transcription dont je n’ai jamais revendiqué être l’auteur
original, j’avais vu, lors de mes recherches de sourçage, que l’article original de 2010 avait été publié in-extenso
sans aucune modification et sans aucune référence à la source, sur au moins 3
sites. Avez-vous alerté l’auteur aussitôt ? Avez-vous crié au plagiat ?
Ben non, je n’ai rien vu de tout ça de votre part. Bizarre, n’est-ce pas ?
Pour ne pas dire suspect…
En fait, j’aimerais bien comprendre d’où vient cet
acharnement gratuit contre moi ? Que vous ai-je donc fait personnellement
? Car je ne crois pas vous connaître, n’est-ce pas ?
Pour finir, comme je l’ai dit en PS3 : je posterai
prochainement une réponse. Et restez en ligne, elle vous concernera au 1er
chef.
Non, la comparaison porte bien entre 2 ouvriers du secteur
secondaire.
A l’époque, le salaire minimum n’existait pas (créé en 1950) et les salaires
n’étaient pas normalisés : il y avait ainsi de grandes disparités entre
les métiers.
Pour les ouvriers agricoles, rares étaient ceux salariés à demeure tout l’année
durant. Ils étaient principalement embauchés « à la tâche », quand il y
avait du travail, selon ce qu’il y avait à faire chaque saison et selon les
régions. Cela se rapproche des « saisonniers » d’aujourd’hui. De plus,
ils étaient la plupart du temps hébergés (dans la grange) et nourris (avec ce
que le paysan produisait : ça ne coûtait pas d’argent à débourser), ce qui
compensait le moindre salaire.
PS 1 : Ne vous fiez pas aux mauvaises langues ni à ceux qui font les malins. Ma mésaventure est malheureusement vraie !
PS 2 : Faites très attention si vous décidez d’acheter. Aux dernières nouvelles, il semblerait que je ne sois pas le seul à m’être fait avoir par ce type, car d’autres cas auraient été recensés. Pour info, j’avais été mis en contact avec ce revendeur provincial (!) par l’intermédiaire d’un blog économique et stratégique. Méfiez-vous, donc.
PS 3 : Je posterai prochainement une réponse aux nombreux commentaires postés ici et là.
Je souhaite aussi préciser que c’est parce qu’il comportait
plusieurs erreurs et me semblait incomplet, que je l’ai corrigé et mis à jour avant
de le partager (au lieu de simplement renvoyer le lien web).
Et si vous comparez attentivement les 2 textes (très facile
avec Word), vous verrez que c’est une refonte totale (il
y a plus de 300 modifications, corrections, suppressions et ajouts).