• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

roblin

Je m’intéresse à un sujet encore tabou dont les médias traditionnels ne parlent pas, les maltraitances des enfants et l’origine de la violence de l’enfance et d’autres sujets occultés par les médias classiques.

Tableau de bord

  • Premier article le 06/01/2009
  • Modérateur depuis le 09/02/2009
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 19 174 444
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 58 23 35
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • roblin 1er septembre 2012 20:56

    agoravox.fr n’a pas voulu publier cet article sur encore une affaire ou ceux qui protègent l’enfant sont harcelés et ceux accusés d’abus d’enfants protégés par l’institution pédophile, non judiciaire  :
    http://www.alterinfo.net/Une-Affaire-d-Abus-d-Enfants-a-Castres_a77635.html



  • roblin 31 août 2012 14:26

    Il y avait un article sur agoravox tv de la ligue des conducteurs sur les nouveaux radars :
    http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/securite-routiere-les-radars-35728

    Leur site est intéressant, on y trouve plein de témoignages :
    http://www.liguedesconducteurs.org/je-temoigne/

    Personnellement, j’ai été harcelé par la gendarmerie à hérimoncourt dans le doubs parce que j’ai osé dénoncé comment les enseignants de l’école primaire à coté de chez moi traitaient les enfants en prétextant la sécurité, ils voulaient porter plainte contre moi pour diffamation parce que j’avais osé dénoncé leur incompétence et leur dangerosité de mettre les enfants dans des situations dangereuses au prétexte de la sécurité routière, alors ils voulaient m’utiliser comme bouc émissaire pour essayer de détourner l’attention sur moi et ainsi éviter d’être accusés, mais tout ça au mépris de la sécurité de tous. En fait, une fois ou je suis sortir de chez moi, j’ai voulu aller prendre le bus et pour ça je dois passer par devant une école sur un passage piéton et là j’ai vu un file indienne d’enfants en vélo qui restaient en permanence sur le passage piéton, ils faisaient le tour du quartier en vélo au prétexte de leur apprendre la sécurité mais lorsqu’un arrivait à la file un autre devant partait, ce qui faisait qu’il y avait une file d’enfants en vélo en permanence sur le passage piéton, dans une rue ou les voitures qui arrivent en sens unique ne voient pas le passage piéton avant d’être le nez dessus pratiquement à cause d’un virage, lorsque j’ai voulu en parler et me plaindre au passage qu’ils bouchaient le passage piéton avec des vélos, j’ai été engueulé, diffamé (un type m’a crié dessus que maintenant je m’en prenais aux femme parce que je m’adressais au accompagnatrices à coté) , les gendarmes n’ont rien voulus avoir et ont pris la défense des enseignants qui étaient en tord et qui avaient fait n’importe quoi. Ils ne voulaient pas voir pourquoi je les critiquais, ils niaient qu’ils ne protégeaient pas les enfants et les mettaient en danger au prétexte en plus du contraire !



  • roblin 31 août 2012 14:04

    Une interview très intéressante d’Alice miller sur l’adoption :
    http://www.alice-miller.com/interviews_fr.php?page=5

    Extrait du Début :
    "Ce que les gens ne veulent pas savoir, c’est ce qui arrive aux enfants derrière les portes fermées de leur maison. Les parents sont toujours idéalisés. Ceux qui soutiennent que les parents biologiques sont toujours les meilleurs parents, tout simplement ne disent pas la vérité. C’est une dénégation de ce que de nombreux parents font véritablement à leurs enfants. Les enfants sont à la merci de leurs parents qui, pour un grand nombre d’entre eux, les maltraitent à la fois physiquement et psychologiquement. Le père peut être un alcoolique qui bat ses enfants chaque jour ; la mère peut les négliger de mille manières, en ne leur donnant pas à manger par exemple. Beaucoup d’enfants vivent de façon si traumatique chez eux que, dans ce cas, il vaut mieux leur trouver une bonne famille d’accueil. Mais chaque cas est différent et il n’y a pas de solution universelle. Il y a des formes cachées de cruauté difficiles à déceler, parce que nous sommes habitués à ne pas les voir. Mais si vous vous demandez : quelle serait la meilleure solution ? Vous devez connaître toutes les données d’une situation intolérable et ne pas les minimiser."



  • roblin 30 juin 2012 12:01

    Article sur le même sujet des dons d’organes :

    http://www.santenatureinnovation.fr/quelles-solutions/chirurgie-quelles-solutions/avant-de-donner-vos-organes-lisez-ceci

    Extrait :

    "Le journal anglais Daily Mail publie l’histoire d’un jeune britannique qui a eu la vie sauvée par son père qui s’était opposé à ce que ses organes soient prélevés pour servir à des transplantations. (1)

    L’affaire s’est produite à l’hôpital universitaire de Coventry, dans le nord de l’Angleterre :

    Stephen Thorpe, 17 ans, avait été gravement blessé à la tête lors d’un accident de voiture au cours duquel était mort son ami Matthieu, 18 ans, qui conduisait le véhicule.

    Les médecins le mirent sous coma artificiel et, deux jours plus tard, le déclarèrent en état de « mort cérébrale ». La « mort cérébrale » permet l’ouverture de la procédure de prélèvement d’organes. Mais les parents de Stephen, qui étaient auprès de lui, affirmèrent qu’ils « sentaient que leur fils était encore là » et qu’il réagissait à certaines paroles.

    Alors que quatre médecins de l’hôpital confirment la « mort cérébrale  » et souhaitent que commence le prélèvement d’organes, les parents de Stephen font appel au Docteur Julia Piper, praticienne de médecines traditionnelles et alternatives. Celle-ci obtient l’autorisation de faire examiner Stephen par un neurochirurgien de confiance, qu’elle connaît.

    Celui-ci conclut que le jeune garçon n’est absolument pas « mort cérébralement ». Il demande qu’il soit au plus vite sorti de son coma artificiel. Et en effet, cinq semaines plus tard, Stephen rentre chez lui, entièrement remis.

    Aujourd’hui, Steven a 21 ans et étudie la comptabilité à l’université de Leicester. « Mon impression est que l’hôpital n’était pas très favorable à ce que mon père demande une contre-expertise médicale » a-t-il déclaré au Daily Mail."



Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv