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Roche

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  • Roche 14 octobre 2008 10:57

    il y a plein de petit réseaux qui se sont crées a travers la France des points de vente direct aux agriculteurs comme l’AMAP, ils ont du mal a etre véhiculés parce que bien entendu pour le commerce de masse, autrment dits les grandes surfaces, ils représentent une concurrence...

    ceux ci vendent direct aux consommation un panier constitués de fruits et légumes saisonniers.... Internet donne toutes les infos sur leur sites qui s"étalent dans toutes les villes de France, ou ses régions, au lieu d’’engraisser ceux qui nous nourissent de merde hyper chere d’ailleurs, pourquoi pas les payer eux pour des produits frais vraiment frais ? pour ma part il y a bien longtemps que je n’achète plus rien ni en grande surface ni chez les discounts...

    ce sont des salops qui nous ruinent pour de la merde... vous noterez d’ailleurs qu’avant, sur les fruits une étiquette mettait en valeur sa provenance, cequi se fait très peu de nos jours, et puis, avec la supresseion des barrières douanières que l’UE tente d’appliquer depuis des lustres pour laisser passer la merde des US, on est pas dans la mouise

    mais je ne comprends pas pourquoi les gens dorment et ne s’attèlent pas a agir dans la réalité... le pire c’est que c’est l’avenir de leur momes qu’ils mettent en péril, et c’est moi qui n’ai pas de gamin qui en parle, bon aller suis trop dégoutée en ce moment !!!



  • Roche 14 octobre 2008 10:25

    foufouille

    article orienté sur l’age hum !!! ou est votre logique ? c’était quoi le titre déjà ?

    normal ce que l’auteur met en avant, ces jeunes appartiennent a la tranche d’age ou le taux de suicide est énorme même hors milieu carcéral ! ilsez les chiffres de l’INSEE qui mettent en avant ce phénomène pour les jeunes de 15 a 19 ans...

    pourraient ils alors en dire autant des jeunes qui nesont pas en prison ? quel cynisme !!! le monde est sens dessous dessous, plus personnes ne pense a rien, ou plutot a tout pour trouver des solutions faciles, des réponses toutes faites, si on a de la misère et des pauvres c’est parce que les gens sont fénéants, si lesjeunes prisonniers se suicident c’est parcequ’ils s’amusent et encore quoi ? j’attends le prochain gaga avec impatience !



  • Roche 14 octobre 2008 00:03

    Savinien

    les gens plus cultivés savent que dans le rapport du maitre a l’esclave, le maitre est celui qui jubile de son pouvoir et est donc plus esclave que l’esclave lui même !!! le maitre est donc plus dépendant que l’esclave ! et vlan



  • Roche 13 octobre 2008 22:37
    POURQUOI RETABLIR LA CONFIANCE PAR CEUX LA MËME QUI L’ONT PERDUE !!!

    La crise financière vue par Jacques-Alain Miller
     
    1/ Comme le rappelle l’étymologie, il existe des affinités entre le mot crise et le mot critique. La crise fait appel au jugement, mais c’est surtout un point de bascule, un peu comme la maladie qui peut conduire à la mort ou à la guérison. Pour le psychanalyste, que signifie avant tout ce mot de crise ?
     
    Le psychanalyste est ami de la crise. Entrer en analyse constitue toujours pour le sujet un moment critique, qui répond à une crise, ou en révèle une.
    Seulement, une fois commencée, l’analyse est un travail : foin des crises !
    Les crises de larmes ? on attend que ça passe. Les crises d’angoisse, voire de panique ? on les désamorce. Les crises de folie ? on évite de les déclencher. En un autre sens, chaque séance est comme une petite crise, qui connaît paroxysme et résolution. Bref, il y a crise, au sens psychanalytique, quand le discours, les mots, les chiffres, les rites, la routine, tout l’appareil symbolique, s’avèrent soudain impuissants à tempérer un réel qui n’en fait qu’à sa tête. Une crise, c’est le réel déchaîné, impossible à maîtriser. L’équivalent, dans la civilisation, de ces ouragans par lesquels la nature vient périodiquement rappeler à l’espèce humaine sa précarité, sa débilité foncière.
     
    2/ Comment interprétez-vous la peur de perdre son argent ? Tenir à son argent, cela-t-il le même sens pour un petit épargnant et pour un milliardaire ?
    Il m’est arrivé jadis de recevoir durant quelques semaines un patient qui était milliardaire, un rien maniaque, et qui m’annonçait régulièrement en riant qu’il avait gagné ou perdu un million de dollars le matin même en spéculant sur les monnaies. Le prix de la séance, c’était pour lui une sorte de pourboire, ça n’existait pas. Il a fini sur la paille. Il est d’autres types de riches, économes, voire avares, et plus avisés. Mais si vous êtes vraiment riche, vous êtes plutôt inanalysable, car vous n’êtes pas en mesure de payer, de céder quoi que ce soit de significatif : l’analyse vous glisse dessus comme l’eau sur les plumes d’un canard. Le « petit épargnant » ? épargner, accumuler, c’est sacrifier le désir, ou au moins l’ajourner. La cassette d’Harpagon, c’est de l’encaisse-jouissance, de la jouissance gelée.
    L’argent, c’est un signifiant sans signification, qui tue toutes les significations. Quand on se voue à l’argent, la vérité perd tout sens, on n’y voit qu’un attrape-nigaud.
     
    3/ L’appât du gain, la volonté d’amasser des sommes telles qu’elles en deviennent irréelles a-t-elle selon vous à voir avec l’angoisse de la mort
     ?
    Oui, le pousse-à-l’épargne spécule ouvertement sur la mort, la peur des maladies, le désir de se perpétuer dans sa descendance. Mais il y a aussi le pousse-au-crédit, à la consommation immédiate, à la dépense effrénée. Et, troisièmement, il y a l’argent pour l’argent, le pur plaisir de posséder, le pousse-au-plus. Mort, jouissance, et répétition, ce sont les trois face d’une pyramide dont la base est donnée par la nature inconsciente de l’argent : celui-ci est de l’ordre de l’objet anal. Qu’est-ce qu’on aperçoit dans ce moment de vérité que constitue une crise financière ? que tout ça ne vaut rien. - que l’argent, c’est de la merde, quoi ! Voilà le réel qui déconcerte tous les discours. On appelle ça, poliment, « les actifs toxiques ». Benoît XVI, toujours vif, n’a pas tardé à exploiter la crise financière : ça prouve bien, a-t-il dit, que tout est vanité, et que seule la parole de Dieu tient le coup !
     
    4/ Cette crise comporte une forte dimension psychologique Qu’est-ce qui explique selon vous ces mouvements de panique, qu’on relève en particulier avec les secousses des marchés boursiers ? Qu’est-ce qui les déclenche, et comment peuvent-ils être apaisés ?
     
    Le signifiant monétaire est un semblant, qui repose sur des conventions sociales. L’univers financier est une architecture de fictions dont la clé de voûte est ce que Lacan appelait un « sujet supposé savoir », savoir le pourquoi et le comment. Qui joue ce rôle ? Le concert des autorités, d’où parfois se détache une voix, Alan Greenspan, par exemple, en son temps. Là dessus se fondent les anticipations, et anticipations d’anticipations, des opérateurs. Tout cet ensemble fictionnel et hyper-réflexif tient par « la confiance », c’est à dire par le transfert au sujet supposé savoir. Si celui-ci s’effondre, il y a crise, débâcle des fondements, ce qui entraîne logiquement des effets de panique. Or, le sujet supposé savoir financier était déjà très délité, parce qu’on avait dérégulé à tout va. Et on l’avait fait parce que la finance croyait, dans son délire d’infatuation, pouvoir se passer de la fonction de sujet supposé savoir. C’était croire au père Noël. Premier temps : les actifs immobiliers deviennent des déchets.
    Temps 2 : de proche en proche la merde envahit tout. Temps 3 : gigantesque transfert négatif à l’endroit des autorités, l’électrochoc du plan Paulson loupe. Non, la crise durera tant que l’on n’aura pas reconstitué un sujet supposé savoir. Cela passera à terme par un nouveau Bretton Woods, un concile chargé de dire le vrai sur le vrai.


  • Roche 13 octobre 2008 22:26

    Ronny

    bien de soulever le projet de société vivable pour tous, mais vous pmettez une chose, 30 années de bulbes conditionnés par un semblant de ’liberé", des etres repus a souhaits, comblés des besoins les plus recherchés possibles, le formatage ayant enfin abouti vous prensez vraiment que ceux ci vont pouvoir repenser un monde ? non non non, vous ne vous adressez pas a la bonne génération, ceux là ont peur de perdres mais en fait, ils ne perdent rien puisque çà fait 30 ans qu’on leur fait croire que le travail qu’ils fournissent est indispensable a la transformation du monde et son bien etre ...

    Ils n’ont même pas remarqué que plus ils avancent moins ils en ont et qu’ils en ont même de moins en moins !!! condtionnés a croire que s’il y a des pauvres, c’est parcequ’ils sont fénéants, que si la vie est chère c’est parce que la libre concurrence, l’économie d marché et le libéralisme leur permet d’acheter ce qu’ils veulement et là ou ils veulent, alors qu’en vrai, eh bien il y a une partie du monde qui crève tout simplement, mais là la mort on s’en fout, et puis les autres eh bien ils bouffent des denrées pourries congelées chez ED, paieront leur dernier ecran LCD a crédit et vont ramer pour le payer d’ailleurs parcequ’ils rédtuiront forcément leur budget alimentaire, quand au reste, j’imagine que tous de quoi assurer leur besoinsde premières nécessité et leur loisir bien entendu !!!

    alors travailler le dimanche ou non, ils ne sont plus a çà près !!!

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