Rodriguez

« ON » sollicitait Obama ou du moins l’ONU ?, « ON » accuse l’inefficacité de celle-ci ? Monsieur le Camerounais qui est ce ON ? On c’est qui ?

La vérité factuelle est qu’on n’a pas pris cette résolution au conseil de sécurité pour s’arrêter là. Il va falloir y aller. C’est à dire qu’on ne s’est pas mis d’accord sur le partage du butin pour ne pas entamer la conquête. Rien ne l’arrêtera. Mieux, tout sera fait pour démontrer que l’Occident est dans le vrai et qu’il relève de la justice naturelle d’aller buter le « méchant » qui « massacre le peuple » et non qui répond à une rébellion armée.

Outre l’accord sur le partage, l’autre élément ayant certainement et lourdement payé dans cette expéditive condamnation à mort, c’est que contrairement aux dictateurs en délicatesse avec l’Occident qui gardent le silence, Kadhafi et ses enfants/ « son clan » ne se taisent pas. Ils avaient décidé, en tous les cas, menacé de parler. Surtout de ce qu’ils avaient donné de l’argent à l’un ou à l’autre. Même Saddam Hussein n’avait pas parlé alors que s’il l’avait ouvert un peu seulement, combien n’aurions pas su pas qui est qui. Bref, ce « fou » là, il n’est pas n’importe lequel, il a menacé de parler et de faire des « révélations » ; enfin des révélations que beaucoup d’entre nous subodoraient depuis. Ce ne seront là que des confirmations de sources. Mais cette menace a été retournée contre les Kadhafi. Sinon, on tue au Bahrein, au Yémen, au Togo, au Burkina Faso, en Centrafique, au Gabon, au Cameroun...les populations civiles. Mais dans ces pays là, les dictateurs sont très dociles et obéissants. TotalFinaElf, Texaco, Exxon, BP, Bolloré, Bouygues, EDF, GDF-Suez, Coca-Cola...y font de bonnes affaires.

Cher monsieur, merci de vous soucier de mes facultés de discernement. J’ai un médecin qui me suis, je suis certain qu’au moindre signe, il n’hésitera pas à m’envoyer consulter un psy ou un un spécialiste. - :)

Cher Monsieur, excusez-moi, que la surnatalité constitue pour ce professeur Aboubakar Namoda le problème de l’Afrique, c’est son opinion. Que cette opinion emporte votre adhésion, c’est votre droit. Le professeur a choisi de parler de cela, je le respecte. Mais, moi, j’ai choisi de parler d’autres choses.