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Rose noire

Rose noire

J'aime écrire sur la vie (des autres), sur tout et rien,
surtout l'air de rien, donner mon avis, c'est tout ou rien.
 
J'aime bien l'effleure du mal, l'écriture à fleur du pot,
jusqu'à sombrer dans les tons beaux des fleurs,
 
les roses noires.

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Derniers commentaires



  • Rose noire Rose noire 29 octobre 2013 22:20

    Tristesse et désarroi que je vois ici bas,

    sous cet article bon, juste et précis,

    entaché de mauvaises langues sans foi,

    des piètres joueurs de vilains mots du mépris.

     

    Ainsi, l’insulte attire l’insulteur dans la case,

    où masqué sous son pseudo peur de rien,

    le petit facho en herbe, le lambda des nazes,

    crachouille sa phobie par tous les moyens.

     

    La couleur de la peau et l’origine de la vie,

    prennent leurs racines dans un puits commun,

    un berceau appelé humanité, un mot qui s’oubli,

    un bien mémorable, un tout qui nous mène à demain.

     

    Et demain sera fait de gris, sous le ciel des querelles,

    sous la pluie des jeux de maux, risibles pour si peu

    que personne ici bas, ne conteste ni ne s’en mêle,

    car la phobie entraîne la peur, si l’on ne crie « Au feu » !



  • Rose noire Rose noire 29 octobre 2013 21:41

    Utiliser des mots savants pour avancer des idées,

    ne peut faire que reculer ceux,

    qui ne savent le sens des piliers,

    effrayés par tant de sons orgueilleux.

     

    La vulgarisation est un art bien moins vain,

    quand bien même souffrante de quelques légèretés,

    laissant de côté les puristes, véritables initiés,

    mais permettant au plus grand nombre de voir plus loin.

     

    Comment alors entrer dans le débat originel,

    si la forme est telle qu’elle occulte le fond ?

    A vrai dire, les maux savants sont des poux et moi je bêle,

    car ma poésie vous est aisée quand vos mots sont abscons.



  • Rose noire Rose noire 27 octobre 2013 20:39

    Mélanger le chou et le gras,
    jusqu’à un bien triste emploi,
    celui d’un mot à la couleur violette,
    un mal, un mot qui n’est pas à la fête.

    Le sauveur dites-vous ?
    Mais il n’est point de sauveur
    qui d’abord ne fut fou.
    Etes-vous donc vous, dame de coeur ?

    Si le procès est dit d’insignifiance,
    que vient donc faire ce mot si violent,
    sur un fil lui bien arrimé de méfiance,
    où tout se mélange et n’est guère succulent ?

    Entrer dans un texte, c’est comme entrer dans une salle,
    et si celui-ci fait simple état d’un léger regret,
    envers un chef de parti qui lui ne va pas au bal,
    il est un lourd méfait qui force le lecteur à l’arrêt.

    Celui d’un mot, fort mal à propos !

    L’audience est levée après la méprise du jury,
    car l’on entre pas aux assises de viles querelles,
    entre allongement de poursuites pour une question d’usufruit,
    comme l’on entre de force dans le corps d’une belle.



  • Rose noire Rose noire 24 octobre 2013 17:30

    Et combien d’hommes politiques,

    chefs d’Etats ou ministres,

    en pleines fonctions idéologiques

    ont commis de lourds sinistres ?

     

    Sang sur les mains,

    au-dessus des lois,

    rien pour demain

    et tout pour les rois.

     

    Fichez donc la paix à ceux qui repris,

    par la justice ont purgé leur peine,

    hanté maintenant de remord et de cris.


    Les confiner à l’ombre de leur veine ?

     

    Pourquoi dont quand l’exemple est donné,

    par des hommes condamnés pour le crime,

    de milliers d’innocents, revenus gouverner.


    L’artiste lui, souffre, mais point ne frime !



  • Rose noire Rose noire 11 octobre 2013 11:40

    Et fatizo lui si beau, si classe donnant l’exemple, n’a pas fait le relai de cette info.

    Oh non, lui jamais ne se jette sur ces histoires à la sauvette, jamais.
     
     
    Tout cela méritait bien un article, désolant.

    Un article ainsi nommé désir, peu méritant.

    Est-ce bien cela, le courage dont parliez ?

    Parlez-en donc à Juliette, elle est irritée.

    Je viens tout juste de l’avoir au bout du fil,

    fatizo, si elle vous voit, attention, ça vrille.
     
     
    A lire votre fiche et voir votre style, quelque chose me dit que votre prochain billet
    pourrait traiter de ce sujet, mais quitte à donner dans la critique de nos retraité(e)s,
    vous pourriez parler de cette octogénaire, je ne doute pas que là aussi, vous ne la plaindrez pas.


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