Pasou, ton racisme n’a d’égal que ta xénophobie. Je ne discute pas avec des gens de ton espèce. car même virtuellement, tu me fais peur. Très peur, et moi, perosnnellement, je ne vis pas dans ton pays, et jamais je n’y vivrai, ton pays ne m’a rien donné, je ne te dois rien, ni a toi ni aux gens de ton espèce. Les néonazis me font peur, J’ai la trouille rien qu’a te lire.
Et je persiste à dire, des milliers de musulmans condamnent le terrorisme tous les jours. Mais bien sur, en Occident on ne le relate pas, on préfère faire croire que les musulmans encouragent le terrorisme. On peut ainsi continuer à casser du musulman la conscience tranquille. À quand une dénonciation par l’Occident du terrorisme de l’État d’Israel, des USA, de la Russie, etc.. ? et le terrorisme de l’État français en Afrique (la françafrique, ça vous dit quelque chose ?)... Charité bien ordonnée commence toujours par soi-même.
@ l’auteur 1-D’abord, et non il n’y a pas de clergé dans l’Islam, il n’y a pas de classe religieuse qui prétend être dépositaire du message religieux à l’instar de la chrétienté ou d’autres religions encore. Il existe un mufti pour chaque pays musulman modéré (la majorité écrasante) qui est un officier de l’État et des Ulémas (interprètes, et exegètes et théologiens qui étudient l’islam dans les universités) et ceux là aussi ne sont pas un clergé. Si vous désignez par clergé les imams ou les cheikhs qui pullulent et ben non, ces gens là, n’ont pas plus d’autorité que n’importe quel citoyen ordinaire. Ils s’arrogent un droit de guider les gens mais personne n’est tenu de les écouter. L’islam est une religion ou il n’existe aucun intermédiaire entre le croyant et son Dieu. Si on est capable de lire et de nous documenter on peut se limiter à sa propre lecture du Coran pour pratiquer l’islam et c’est ce que font la majorité des musulmans. Tous les pseudo cheikhs qui pullulent personne ne les a nommés cheikhs, ni les États, ni le peuple. Ben laden n’a aucune autorité sur les musulmans, encore moins Tarik Ramadan ou n’importe qui encore. ce qu’ils racontent n’engagent qu’eux mêmes.
2-Des milliers de voix se sont élevés et continuent à s’élever parmi les ulémas ou les imams de quartiers ou les citoyens ordianires depuis le 11 septembre pour s’indigner contre le terrorisme et condamner ces actes de barbarie. Combien d’imams et ou muftis (en Tunisie, maroc, Algérie, Égypte...) ont condamné le terrorisme. Mais ça vous l’ignorez, les médias que vous lisez ne vous le disent pas. Bien sur vous préférez continuer à penser que tous les musulmans sont des terroristes et encouragent le terrorisme. C’est bien plus simple comme ça on peut contineur a casser du musulman.
3- Une fatwa : ça ne veut rien dire. n’importe qui peut se lever un jour et dire moi je suis le cheikh tel et voila je fais une fatwa contre facebook. D’ailleurs on en voit tous les jours des milliers de fatawi en Arabie saoudite par exemple contre tout et rien : la musique, le bain-turc, le sauna, le coca cola, le maquillage, bref contre tout. Il n’y a que la respiration qu’ils ne nous ont pas encore interdits. Tout ça pour vous dire que non ce n’est pas grâce a cette fatwa que l’on découvre que le monde musulman n’est pas terroriste a 100%. Aussi, ce n’est pas grace a cette fatwa que le terrorisme va s’arreter.
4- Quand le Clergé de la politique internationale va déclarer une fatwa contre le terrorisme de l’État d’Israel contre le peuple palestinien entre autres ?
N’ayant plus la possibilité de disciminer les individus sur la base de leur appartenance ethnique ou de proférer a leur égard des propos ou considérations raciste (basé sur la race, l’ethnie, la couleur, etc. ) la seule et unique façon que les arabophobes et racistes français ont trouvé pour casser de l’arabe est d’attaquer leur religion c’est plus simple car pas punissable et dans une France anticléricale mais combien tolérante pour le sionisme, attaquer l’islam équivaut à un bon exercice de défoulement dont populace, élite et médias raffolent et en connaissent bien la vertu : cela libère fortement leur xénophobie et leurs frustrations accumulées tout le long des décennies passées et leur permet de renouer avec une tradition nationaliste fort bien connue chez les enfants de Marianne.