C’est tout à fait vrai, la pensée de Chomsky s’est désintégrée en même temps que les tours jumelles.
Sa critique des crimes Américains, aux quatre coins du monde, fait
partie du passé. Il a dénoncé les mensonges et la propagande
gouvernementale depuis des années. Tout ça pour en arriver à
soutenir le mensonge infâme qu’est la version officielle du 11
Septembre, selon l’Administration Bush. Passer de dénonciateur des
méfaits du pouvoir, à relayeur de la propagande la plus nauséabonde,
c’est effectivement assez inquiétant.
Mais d’autres voix plus perspicaces sur le 11 Septembre (et sur les
crimes étatsuniens) se font entendre : David Ray Griffin, Webster
Tarpley, Steven Jones, Michael Ruppert, Michael Parenti, etc. Ils ont
des propos beaucoup plus convaincants que ceux de Chomsky. Alors,
oublions ce cher Noam et allons voir ailleurs si le ciel de la
contestation est bleu.