Je vous trouve bien injuste avec les voyants, astrologues et autres charlatants, s’il n’ont jamais réussit à prévoir l’avenir mieux que n’importe quel parieur, ils n’ont jamais prétendus non plus, pouvoir prédire le passé !
La science fait aussi quelques erreurs, en affirmant, par exemple, que l’on peut soigner le crétinisme.
Et personne ne sait si elle voulait se marier ! Si elle a été forcé, on comprend qu’elle se foute de mentir, sinon elle aurait pu se refaire faire une virginité.
Moi je suis trop vieux, je croyais que les gens se marriaient par amour (mais non, ce n’est pas un gros mot ?).
Le problème que personne ne soulève avec ce jugement est de savoir si la marié n’était plus vierge avant ou après la nuit de noce. Le mari avoir pris cet argument pour ’répudier’ sa femme !
L’argument finale
Je conseillerais à la femme de faire annuler son mariage mon mensonge sur l’intelligence du mari.
De toute façon parti comme ça, je ne lui souhaite pas de vivre trés longtemps avec lui.
Nicolas SARKOZY Le 29 avril 2004
(Script , extraits de l’enregistrement du discours de Mr SARKOZY lors de sa visite sur le site du
CNPE de CHINON le 29 Avril 2004)
« D’abord les garanties à donner : il y en aura par la loi un certain nombre qui, me semble t’il,
sont des garanties de nature à lever les malentendus et les craintes. Y aura-t-il un
changement, un seul, pour le statut personnel des employés d’EDF et de Gaz de France ?
Je peux vous le dire, il n’y aura aucun changement, ni de près ni de loin, sur aucune
mesure du statut qui est le vôtre et je comprends dans cet engagement, la totalité de
ceux qui travaillent à l’intérieur d’EDF et de GDF. Je suis même prêt - je l’ai dit aux
organisations syndicales - à mettre sur la table la question de la sous-traitance qui est
> une question difficile, dont il faut parler, parce que nous ne pouvons pas avoir deux
> statuts, l’un plus précaire que l’autre. C’est la première garantie...
> ... Mais bien sûr que je vais l’écrire ! Je ferai mieux que l’écrire ! Je ne vais pas vous
> envoyer une lettre, je viens devant vous ! Qu’est-ce que vous voulez que je fasse de
mieux et de plus ?
... Je sais bien qu’un problème de retraite se pose ! Deuxième élément : le problème des
retraites. Jusqu’à présent, vous avez un régime de retraite dit « régime spécial » par
complément au régime général. Ce régime de retraite obéit à un certain nombre de règles
et vous garantit un certain nombre de droits, notamment sur les 37 années et demie. Ce
régime sera-t-il modifié ?
Je prends l’engagement devant vous qu’il ne sera modifié sur rien ! Ni sur la durée...
... Écoutez, permettez-moi de vous le dire, si vous ne me croyez pas, c’est une autre
chose, dans ce cas, je n’ai pas à abuser de votre patience. Si je suis venu vous dire les
choses, c’est parce que ce sont des engagements que je prends devant chacun d’entre
vous. Il n’y aura pas de modification du calcul de vos retraites...
... Il n’y aura pas de modification de la durée de votre travail. Quelle est la modification qui
doit tenir ( ?) à l’organisation de vos retraites ? Elle est très simple : EDF, établissement
public a la garantie de l’État. Si EDF est société et pas établissement public, il n’y a pas la
> garantie automatique de l’État. Il faut donc que votre régime de retraite soit en solidarité
avec le régime général, en quelque sorte adossé, pour que sans changer les modalités de
calcul, il y ait une garantie. C’est le seul changement qui est concerné.
Voilà donc les deux changements concernés : Garantie de l’État sur le
régime de retraite pour régime de retraite garanti par le régime général.
Je ferai mieux puisque j’écrirai dans le texte de loi, les garanties précises sur chacun des
avantages de vos régimes de retraite. Chacun ! Sans en oublier un seul. »
« Alors je voudrais d’abord vous remercier tous, quel que soit ce que vous pensez, parce
que vous m’avez laissé m’entretenir avec vous et, compte tenu de l’attente et des
préalables, je mesure que c’est bien ce que vous avez fait, que c’est un effort et je
voulais vous en remercier. Je voudrais vous dire trois choses en partant. Je veux que vous
sachiez que je suis de bonne foi. Je vais vous dire une chose : on se retrouvera ! On se
retrouvera... un jour ou l’autre et on verra à ce moment-là si, ce que j’ai dit, c’était une
blague ou si c’était vrai. Je veux vous dire une deuxième chose : ne cédez pas à
l’immobilisme, c’est votre entreprise qui est en jeu, donc votre emploi, donc votre avenir.
> Et je vais vous dire une troisième chose, prenez-le tel que : je crois tout autant que
chacun d’entre vous en l’avenir d’EDF et de GDF et cet avenir, je vous demande une
chose, qu’on s’y engage ensemble et dans les jours et les semaines qui viennent, j’aurai
l’occasion de vous en apporter des preuves. Je vous remercie ».