Née à Tunis en 1985. Etudiante à Paris en Master 1 Lettres Modernes, 2e année de Licence LEA (Langues Etrangères Appliquées) Anglais-Espagnol à l’Université Paris III Sorbonne-Nouvelle.
Je ne pense pas que, même si une majorité est favorable au blocage, elle ait le droit d’imposer cela à une minorité. C’est sans doute pour cela que la question à laquelle nous avons eu à répondre était « êtes-vous pour ou contre la reprise des cours ? » (je vous laisse juger la nuance). C’est en cela que l’entreprise des bloqueurs est doublement condamnable. D’autant plus qu’ils ont du mal à assimiler le fait qu’on puisse être à la fois contre la loi et contre le blocage ! Bref, une vision très manichéenne qui laisse peu ou pas de place au dialogue.