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  • Scloud 9 mars 2009 08:24

    Cet article étant essentiellement inspiré d’un papier passé dans un récent numéro de l’hebdo "Le Point",je me bornerai donc à transmettre ce qu’avait été mon commentaire :
    http://lepoint.antisearch.net/cgi-bin/redirect ?TYPE=URL&PARAMS=pesticide&C=163&ARG=&AGENT=&CID=&TARGET=http ://www.lepoint.fr/content/societe/article?id=320885

    """Les produits phyto, ce n’est pas de l’eau bénite, il faut en convenir. Affirmer qu’ils ne présentent pas de risques serait irresponsable. (risque=conjugaison d’un danger X l’exposition à ce danger.) Parmi les risques, il faut considérer le "risque utilisateur" et le "risque consommateur". Pour les utilisateurs, des règles d’utilisation strictes doivent être respectées. Quand je vois la photo qui illustre l’article du "Point" (édition papier), j’en viens à m’étonner qu’il y ait encore des viticulteurs survivants aux applications par atomiseurs, le masque que porte ce monsieur ne permet en aucune façon une protection efficace, il ne porte pas de gant et sa protection de visage est nulle. En une journée, il est certain qu’il absorbera plus de produits que n’importe quel consommateur en une vie... Il n’y a aucun rapport entre le risque aigu des applicateurs et les risques supposés chroniques des infra-doses que l’on retrouve ici ou là, ce qui n’empêche pas de tout faire pour les réduire au minimum. Nous connaîtrons les résultats de l’enquête AGRICAN dans quelques mois. Quelles que soit ses conclusions, elles ne concernera pas les consommateurs qui sont à l’écart du "risque utilisateur", aujourd’hui, il est impossible d’affirmer objectivement "qu’il y a des poisons dans nos assiettes" sans faire des amalgames ou des citations incomplètes dites "journalistiques", de celles qui sont destinées à faire peur et vendre du papier. Lors d’un traitement herbicide, on ne "crache" pas une pluie de désherbant, on le pulvérise, ce qui est déjà moins impressionnant. Quant à dire le pourcentage de cette pulvérisation qui part dans les nuages, il faut être bien audacieux pour annoncer de tels chiffres (25 à 75 % des volumes qui se retrouveraient au dessus de la tête des parisiens !). Mieux vaudrait en rire, le fait est qu’il faut lire 25 à 75 % des molécules utilisées peuvent être identifiées dans l’air de la capitale. Cela se compte en nanogrammes par mètre cube d’air. A ce niveau, les quantités sont exprimées en ppb, parties par milliard. (A titre de comparaison, 1 ppb sur la distance Paris-Perpignan, c’est 1/10e de millimètre.) Je ne finirai pas ce commentaire sans relever la définition tronquée donnée pour la phrase de risque R40. L’auteur nous dit R40 : à effet cancérogène suspecté, il faut ajouter : preuves insuffisantes. Les molécules R40 sont en général de vieux produits pour lesquels les études de térato. n’étaient pas demandées pour l’homologation, ces molécules tombées dans le domaine public ne pouvaient plus supporter les frais d’études toxico extrêmement onéreuses, les industriels ont donc pris le parti d’abandonner leur production (cas de l’atrazine par exemple) ce qui revient à dire que l’on remplace des produits non rentables par de nouveaux qui sont dans tous les cas mieux évalués. Un mot sur l’arsenic. Il ne faut pas écrire "arsenic de soude", mais "arsénite de soude", ce produit était utilisé en repos végétatif pour lutter contre des parasites s’attaquant au bois.""""



  • Scloud 28 février 2009 13:19

    Les français et leurs contradictions...pourquoi avoir de l’eau potable au robinet alors que la majorité de mes concitoyens achètent pour environ 1000 fois plus cher de l’eau en bouteilles plastiques ?

    Quant à prétendre que des toilettes sèches serviront à faire du compost, laissez moi rire ! Vous nous voyez descendre nos seaux hygiéniques (même traités préalablement à la sciure) pour les renverser ensuite sur les plates bandes ! Bonjour les pollutions virales et bactériologiques, de celles qui tuent en 48 heures.
     Le manque d’analyse est poussé à son comble si l’on prétend ainsi épargner les eaux de surface ou souterraines, de toutes façons, les molécules qui sont en cause se retrouveront dans l’environnement par percolation ou ruisselement naturel.




  • Scloud 14 janvier 2009 09:17

    A quelques exeptions près, la lecture des réactions me navre ! Quel manque d’objectivité des commentateurs qui souvent aveuglés par leur parti pris ne veulent pas regarder la réalité en face.

    La réalité, c’est que le Hamas provoqué Israël avec l’envoi de "bombinettes" qui n’ont d’autre effet que de générer une riposte disproportionnée et par là même de dresser l’opinion publique internationnale contre l’état sioniste.
    Avec les centaines de victimes palestinienne, le Hamas atteint ses objectifs, ( bientot 1000 martyrs se bousculant aux portes du paradis !) d’autant plus qu’Israël dans son délire en est venu à utiliser des armes de destruction quasi massives et effroyables dans tous les cas.

    Combien de souffrances indiscibles faudra-t-il encore supporter pour que la communauté internationnale se décide à intervenir radicalement pour mettre fin à cette situation qui ne fait qu’empirer depuis 1948 ?

    Il est urgent que l’ONU impose un désarmement complet et définitif de toutes les parties, même si cela doit se faire par une interposition arméé sur l’ensemble du territoire (Palestine et Israël) , c’est à ce prix qu’il sera possible de pacifier cette région si l’on ne veut qu’à terme elle ne s’embrase dans un conflit généralisé.



  • Scloud 13 janvier 2009 18:26

    Pour information (vérifiable entre autres sur http://www.gnis-pedagogie.org/pages/docbio/chap2/3.htm), les surfaces ensemencées en Soja Roundup Ready ont progressé de 25 % aux USA en 2008, ce qui prouve la satisfaction des agriculteurs utilisateurs.
    Cette technique permet de réduire les interventions herbicides et surtout de limiter les usages de produits aux profils éco-toxicologiques bien plus défavorables que celui de Roundup.
    Ce n’est qu’à ce prix que la planète pourra bientot nourir convenablement 9 milliards d’humains.




  • Scloud 13 janvier 2009 13:57

    Ce qui s’est passé en Inde (je pense que vous faites référence aux nombreux cas de suicides d’agriculteurs rapportés par les médiab) est principalement l’effet de commerçants non scrupuleux (voire criminels) qui ont vendu des semences ordinaires les faisant passer pour des PGM, les résultats des récoltes furent donc catastrophiques pour les paysans abusés par des escrocs.
    Et pour en savoir un peu plus sur les PGM, le site du GNIS est fort bien documenté (gnis-pedagogie.org/pages/docbio/chap2/3.htm) on peut aussi aller plus loin en cherchant les propriétés de l’enzyme CP4-EPSPS qui confère aux PGM leur résistance au glyphosate.


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