La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a demandé que "des
poursuites pénales soient engagées" après la diffusion d’une
photographie montrant un homme s’essuyant le postérieur avec le drapeau
français et primée par un jury dans la catégorie "politiquement
incorrect".
Cette décision a été prise après réception d’un courrier du député et
président UMP du conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti,
sensibilisant Mme Alliot-Marie à cette affaire « outrageante » selon lui
pour le drapeau français et lui demandant d’envisager des poursuites.
La photographie visée faisait partie des « coups de coeur » du jury d’un
concours photographique organisé par la Fnac de Nice le 6 mars, et a été
publiée en tant que telle dans un journal gratuit le 19 mars.
La ministre de la Justice,
Michèle Alliot-Marie, a demandé que "des poursuites pénales soient
engagées" après la diffusion d’une photographie montrant un homme
s’essuyant le postérieur avec le drapeau français et primée par un jury
dans la catégorie « politiquement incorrect ». Cette décision a été
prise après réception d’un courrier du député et président UMP du
conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, sensibilisant Mme
Alliot-Marie à cette affaire « outrageante » selon lui pour le drapeau
français et lui demandant d’envisager des poursuites. La photographie
visée faisait partie des « coups de coeur » du jury d’un concours
photographique organisé par la Fnac de Nice le 6 mars, et a été publiée
en tant que telle dans un journal gratuit le 19 mars.
ecore un sujet pour toi, mon petit berkay.. tu ferias mieux de te preoccupper des degenerescence des britanniques.. les sujets ne manquent pas en tout cas.
Un britannique sur quatre reconnaît participer à des sorties très
alcoolisées
LONDRES Les Britanniques sont les plus
gros buveurs de l’Union. un sur quatre reconnaît participer à des sorties
très alcoolisées européenne et , révèle une enquête européenne publiée
...
Depuis le 11 mars, six personnes ont tenté de se suicider et quatre autres se sont donné la mort dans les usines chinoises Foxconn qui assemble l’iPad. L’entreprise avait déjà été touchée par des suicides ces dernières années.
Une nouvelle vague de suicides a relancé la polémique autour des ateliers Foxconn, l’usine chargée d’assembler en Chine la nouvelle tablette multimédia d’Apple. Sur le même sujet
Selon les autorités, quatre ouvriers se sont donné la mort et six ont tenté de se suicider le mois précédent la sortie de l’iPad.
« La police enquête mais n’a pas encore réussi à clarifier les motivations de chacun des cas », précisait Malcolm Moore, le correspondant du Telegraph à Shanghai le 7 avril.
« Un management quasi-militaire »
La fédération des syndicats chinois s’était rapidement emparée de l’affaire sans pour autant trouver le moindre manquement à la loi au sein des ateliers, confiait le 14 avril le vice-président de la fédération, Wang Tongxin, au China Daily. Il y décrivait néanmoins un « management quasi-militaire ».
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que les ateliers Foxconn qui travaillent également pour HP, Nokia, Motorolao ou Cisco font parler d’eux.
En juillet 2009, un précédent suicide sur la chaîne d’assemblage de l’iPhone avait suscité l’inquiétude sur la pénibilité des usines chinoises.
Foxconn avait réglé l’affaire en offrant un chèque de compensation aux parents du jeune homme s’étant donné la mort ainsi qu’un MacBook à sa petite amie, rapportait Associated Press.
Apple soucieuse « de la dignité »
En juin 2007, les suicides de onze travailleurs de chez Foxconn avaient déjà marqué le pays et l’expression de « scandale de travail esclavagiste » avait été prononcée dans la presse chinoise.
L’entreprise Apple avait elle-même été saisie des conditions de travail en 2006 après le reportage d’un hebdomadaire britannique dans les usines Foxconn assemblant alors l’iPod. Apple commentait à l’époque s’engager en faveur « du respect et de la dignité avec lesquels [ses] employés ».