Il est vrai que je me suis mal exprimé sur le logiciel. Il n’y a pas encore de problèmes au pluriel mais c’est un problème d’avoir des dizaines de millions de lignes de code pas terminé et dont on pas s’il fonctionne. Vu le nombre de ligne, ce serait un miracle que tout aille bien du premier coup et vu le nombre de ligne, ça ne va pas être rapide à corriger. Quant à achever l’industrie Européenne, le succès risque d’aller au-delà et de bien toucher l’industrie américaine.
Le besoin pour cet avion est aussi important que ses défauts. L’annuler ou pas, quoi qu’il arrive, ce sera un mauvais choix.
J’attends avec impatience le jour où nombreux seront ceux qui vont se retrouver dans la mouise avec cet avion qui ne sera sans doute jamais opérationnel. Entre la spirale de la mort avec le prix unitaire qui ne peut que monter, les problèmes du logiciel jamais vraiment testé, les problèmes du moteur, la furtivité très relative de l’appareil gouffre à fric en maintenance, il va falloir plusieurs miracles pour qu’il ait sa place même dans l’armée américaine.