Monsieur Marc Trévidic « oublie » (volontairement ou non puisqu’il prétend récapituler les faits) de dire que si le sieur Tony Meilhon était en sursis de mise à l’épreuve pour outrage à magistrat, une autre mise à l’épreuve mais cette fois si pour viol avait été cloturée par un magistrat !
Entre un outrage et un viol à la sortie de prison, le suivi d’une mise à l’épreuve pour le premier semble plus pertinente aux yeux de certains magistrats !