Vous résumez parfaitement l’attente qui est mienne et je ne peux que louer votre analyse. C’est très pragmatique et relate parfaitement la réalité de notre société et pas seulement la France. L’humanité entière est concernée, nous assistons à une main mise de l’humain par des sociétés de cotations et autres organismes financiers et économiques, nos gouvernements ont fait des choix dogmatiques on ne peut plus contestables, et force est de constater que depuis l’effondrement de l’empire soviétique, il n’y plus d’idéologie de contradiction dans la balance des idéaux. L’intelligence voudrait que la réalité des humains prenne le relais, mais la facilité de la société de consommation avec son artillerie médiatique a plongé les peuples dans la léthargie et la peur de l’inconnu. « On sait ce qu’on a, mais on ne sait pas ce qu’on aura !! », voilà ce que j’entends à longueur de journée, même de la part des plus jeunes qui n’ont plus l’esprit de l’aventure (au sens noble du terme) tellement ils ont été formatés. Les humains se replient sur eux mêmes et ne communiquent plus entre eux, engoncés dans leur petits chez soi, son crédit immobilier, son livret A, ses actions, sa télé LCD, la star ac, l’alcool, la drogue, les antidépresseurs, bref tout ce qu’il faut pour ne pas affronter la réalité de la vie. Vous le savez, les révolutions et le les évolutions n’ont été possibles que lorsque les peuples ont été en danger, et que les besoins fondamentaux ont été atteints (besoins physiologiques de la pyramide de Maslow). Tant que nos concitoyens seront sous anesthésie, rien ne bougera ! Alors d’accord, préparons le futur ensemble, je suis prêt à y participer, il y a très longtemps que je cherche des gens comme vous, dites moi où, quand, et comment je peux participer à ce mouvement. Bien à vous Monsieur Baltzar.
Je vous remercie d’avoir pris la peine de me lire. En ce qui concerne les avocats, je dis simplement que ces derniers connaissent parfaitement la combine, et qu’ils font tout pour que cela continue. Je m’explique : Le divorce fait partie de la juridiction du Tribunal de Grande Instance, et dans les procédures auprès de ce tribunal, il est obligatoire d’être représenté par un avocat. Imaginez un instant que nous soyons tout d’accord en cas de divorce, les honoraires sont forfaitaires et ne dépassent pas 890 euros. En cas de conflit les honoraires sont libres, actuellement on me demande 4500 euros et je pense que mon ex en a dépensé autant sinon plus. Les avocats ont tout intérêt à ce que la procédure soit longue, mise en état, rédaction d’actes, consultation, tout est facturable. De plus, ainsi que j’ai voulu le faire, si vous vous présenter sans avocat, vous n’êtes pas entendu et la cause est acquise pour celui ou celle dont l’avocat aura été entendu. Le divorce, c’est le récurrent et la poule aux œufs d’or des avocats. Dans mon cas précis, étant donné que je voulais accélérer la procédure et que je ne demande rien d’autre qu’à voir mes enfants dans des conditions normales, mon propre avocat, communiquant avec l’avocat adverse, ont tenté de faire duré l’affaire et m’ont surtout demandé de courber le dos et d’accepter l’inacceptable. Il ne faudrait pas que d’autres prennent exemple sur moi, car cela finirait par se voir, que ces sont les avocats et personnes d’autres qui fomentent le trouble dans les couples, dans l’unique but de remplir leurs poches. Savez vous que la plupart des associations d’aide aux femmes divorcées sont en général dirigées par des avocat(e)s. Savez vous que dans la plupart des commissariats, tout le monde le sait mais personne ne dit rien, car un avocat est toujours près d’un juge ou d’un magistrat (en général il s’agit de son partenaire). Comme le disait Coluche : « il y a deux sortes d’avocats, celui qui connaît bien la loi, et celui qui connaît bien le juge ». Si cela vous intéresse je peux vous expliquer dans quelle condition l’on m’a écouté lors de la tentative de conciliation au TGI de Montpellier.
Je me décide à m’exprimer sur un sujet brulant puisque je le vis depuis bientôt deux ans. Mon histoire a commencé lorsque j’ai vendu mon entreprise fin 2007 et qu’il s’en est suivi une baisse de revenu significative pour mon couple. Ma femme et moi avions à ce moment là un enfant en bas age né le 8 septembre 2007 et nous avions en garde les deux enfants adolescents de ma première union. Je travaillais au sein de l’entreprise qui avait racheté la mienne et cela ne se passait pas très bien, ma femme est boulimique (c’est antérieur à notre relation) et souffre d’un trouble du comportement ? Bref, elle continuait à dépenser l’argent que nous n’avions plus et la tension montait entre elle et moi. Sa mère était très souvent à la maison, elle est elle même maniaco-dépressive, et je ne me sentais plus chez moi, j’ai même fait un break de 10 jours en allant vivre chez un ami pour faire baisser la pression, mais la présence de mes enfants me manquait, alors je suis revenu et je lui ai demandé à ce que nous nous comportions en adultes intelligents, elle m’a alors proposé de voir avec elle un médiateur de couple, recommandé par l’association à laquelle elle était liée Naitre et Bien être. C’est dans cette même association qu’elle voyait déjà une psychologue pour l’aider à « être maman ». Au travail cela ne s’arrangeait pas, je fus licencié fin 2008, avec la perte de revenu qui s’ensuivit, je faisais mille un petit boulot pour essayer d’en sortir, les banques nous mettaient la pression pour le paiement des crédits immobiliers, mon employeur commença à m’attquer en justice, elle m’annonça qu’elle était à nouveau enceinte, je ne comprenais plus ce qui m’arrivais. Au mois de mai 2009 je fus assigné au TGI par mon ex employeur, elle accoucha en juin 2009 de Kim, un magnifique bébé de 4,7kg, je continuai à bosser et à gérer les problèmes financiers et juridiques et elle me reprocha de ne pas être présent et que je ne faisais pas assez attention à son bien être « moral ». Je me demandais alors avec qui je vivais. J’étais au bout du rouleau, et je partis quelques jours (6 exactement) dans le Lubéron chez un couple d’amis, elle les appela pour savoir si je ne la trompais pas avec l’amie en question. Pour information j’ai 46 ans, ma femme 40 et le couple d’amis ont presque 70 ans. Quand je revins elle partit à sont tour chez sa meilleure « amie » qui habitait dans l’Hérault près de Montpellier (nous habitons à Saint Etienne), laquelle meilleure amie m’avait entre temps envoyé des emails de conseils « matrimoniaux » et que j’avais gentiment remis en place. A son retour elle me harcela de questions complètement farfelues et qui m’exaspérait au plus haut point, voyant que je restais calme et silencieux elle me frappa au visage, et voyant que je ne bronchai pas, elle me demanda si j’avais l’intention de divorcer. Cela se passait en Aout 2009 et elle partit en direction de Montpellier en octobre 2009 non sans avoir vidé notre maison, les comptes en banques et la voiture. Depuis, c’est mensonge sur mensonge, et fausses attestations de la famille et des « amis », on tient mes enfants en otage et j’en passe. Je vous raconte tout cela parce qu’aucune histoire n’est identique et que vouloir à tout prix mettre tout le monde dans le même panier est une aberration. Dans mon cas précis, mon ex femme est une fieffée menteuse qui ne m’a épousé que pour mon fric, voyant que je n’en avais plus, elle a trouvé un autre homme plus riche que moi auprès de son amie, elle a préféré inventé une jolie histoire plutôt que d’avouer ses mensonges. Je ne refuse pas le divorce et je respecte son choix, mais la calomnie, JAMAIS. Aujourd’hui je me bats et je ne lache rien, les avocats qui sont dans sa combine se rendent compte de leurs « erreurs », mais sont tout de même bien contents d’avoir encaissé les honoraires. Dans cette malheureuse histoire, personne n’a tenu compte du fait qu’une fratrie, même recomposée, est séparée depuis 2 ans. Tout le monde, y compris mes propres avocats (cela fait le 4eme), m’ont tiré dessus à boulets rouges (ben oui, je dérange un système qui rapporte beaucoup d’argent à cette noble profession), je ne me laisse pas faire, et je vois tout doucement tout ce beau petit monde tourne sa veste. Ce fut très dur, ce n’est pas encore fini, mais c’est ignoble ce qu’on m’a fait subir. Et tout ça pour quoi ? Uniquement pour l’argent, et fort heureusement, après tout ce qui m’est arrivé, je n’en ai plus ! Et je crois encore à l’amour !!!