Lors de la plus prochaine rencontre des Bleus avec les All Blacks, je suggère que, après le Haka, les joueurs français se mettent à danser deux par deux en chantant Ah le petit vin blanc !
Effet déstabilisant garanti chez l’adversaire !
BHL m’a toujours fait rire. C’est le seul plumitif qui, en partant d’un accident de vélo dans la banlieue ouest d’Oulan Bator, est capable de nous parler de la Shoah.
Je crois que je vais retourner à l’école à Lyon où j’ai, autrefois, fait mes humanités.
Pour moi, le menu sera homard breton sauce armoricaine, et non pas américaine comme disent les ignares, toasts de caviar (la municipalité est bien de gôche non ?), oeufs en meurette, et, pour finir un livarot 5 barettes avec un calva.
Pas un poil de viande dans tout ça.
Et si je n’ai pas satisfaction, je saisirai la HALDE, le MRAP, le CRIF, la mosquée de Paris, la ligue des droits de l’homme, l’ONU, l’OTAN, le MLF, je pétitionnerai dans Libé, Télérama, l’Humanité, je me ferai interviouver par Nicolas Demorand (sur France Inter, c’est le meilleur dans son style), je me ferai inviter par Taddeï le soir sur la 3, celui qui se laisse traiter de sous-chien sans rien dire par une hystérique algérienne, et si cela ne suffit pas, je m’enchaînerai aux portes de la modeste résidence secondaire de Marie-Ségolène à Mougins et j’y ferai grève de la faim.
J’espère vivre encore quelques dizaines d’années pour contempler la montée vertigineuse de la connerie de nos « élites », toujours en avance d’une lâcheté pour, croient-ils, ne pas faire de vague alors qu’ils ne font que préparer un tsunami.
A votre avis, combien de temps avant que ne soit jugé injurieux pour nos très chers amis musulmans le fait de manger un jambon beurre à la terrasse d’un bistrot ?
Ces attaques sur l’oeuvre d’Hergé, qui a fait rêvé et continue de faire rêver des millions d’enfants, atteignent le summum du ridicule.
Je me doutais bien que le CRAN et ce qui tourne autour ne sont que des sales cons et, à les écouter, je sais maintenant comment on devient raciste.
Dehors la racaille, allez raconter vos conneries sous le baobab en attendant que vos femmes vous apportent à boire parceque vous êtes bien trop faignants pour aller chercher l’eau vous-même.