Vous ne connaissez pas le dicton populaire : « l’homme propose, la femme dispose ».
Qu’il soit un malotru, je vous l’accorde volontiers, reste qu’elle n’était pas obligée de s’y soumettre.
Hum... Je ne veux rien vous tirer du tout, ni la larme à l’oeil ni une quelconque compassion concernant mon passé bien réel. Je rejette de tout mon être la posture de victime et votre supposée pitié.
Pour répondre à votre question, oui comme tout le monde j’ai eu des faiblesses et j’en aurais sans doute encore et j’assume. Point barre.
Vous êtes obligé d’hurler pour vous faire entendre, vos arguments seraient-ils si faibles ?
Que cela existe je ne le nie pas.
Je n’ai aucun respect même pour une mère-célibataire,je l’ai été en foyer pour fille-mère à 17 ans (cadeau d’un viol), qui s’abaisse à ce que vous trouvez être un acte de bravoure.
Le respect se gagne et certainement pas de cette façon. Le respect c’est déjà de se respecter soi-même.
Mais vous avez tout à fait le droit de préférer la médiocrité.
Sérieux, vous êtes une femme ? Oui vous en déplaise
Et non je ne suis plus très jeune et je sais de quoi je parle, à mon époque on parlait de droit de cuissage c’est pour vous dire. Les certitudes je les aie acquises de part mon expérience (viol et harcèlement).
J’ai réussi à nourrir mes gosses sans avoir à m’abaisser à ce genre de pratique. Mettre un décolleté et des talons le jour des augmentations, caqueter dès que le patron fait son entrée, à celle qui se fera remarquer et aura les faveurs du boss. Ne me dites pas que ce sont des cas isolés, j’ai suffisamment bourlingué pour savoir de quoi je parle.
Sans doute que maintenant vous allez me dire que j’étais trop moche... (même pas).
Cela vous dérange tant qu’une femme d’un certain âge (voire d’un âge certain) vous dises d’arrêter de pleurer sur votre sort et de vous battre, c’est si dur à entendre.
Je pleure sur les vraies victimes, celles qui ne peuvent pas se défendre parce qu’elles sont menacées physiquement, je pleure sur les viols ethniques, je pleure sur ces enfants agressés par des adultes pervers.
Je ne pleure pas sur celles qui font le choix entre leur honneur et leur carrière, qu’elles assument.