Non 1 million de terrorisés braillards qui se tiennent chaud avec quelques hauts parleurs de cocus maitres chanteurs aspirant proprio du prolo depuis 140 ans comme Charlie.
Vivement le national socialisme, le bonheur c’est l’ordre.
Ah, ah si ils avaient chanté gentiment
El connerie
Travail d’arabe
Pour les Rothschild
Cà aurait été une toute autre histoire,la substance n’était pas là encore une fois !
@sparker808 Elle n’a jamais été, c’est toute l’énorme fantaisie marxiste, la classe ouvriére , le prolo n’est pas une classe.JP Voyer le seul critique de Marx à ce jour, il y a 40 ans !http://leuven.pagesperso-orange.fr/enquete.htm Aperçu :Ce que découvre le prolétaire porteur de marchandises et que ne peut découvrir le capitaliste porteur d’argent, c’est que l’argent est un rapport social, et que ce rapport social est absence de rapport social. Le prolétaire découvre que ce qu’il y a de fondamental dans sa souffrance consiste à ne pas pouvoir nommer sa souffrance : il n’a rien à dire sur cette souffrance, il est volé même de cela. Très bien. Sa souffrance est justement de ne rien pouvoir dire de sa souffrance. Le prolétaire souffre du monde entier, le prolétaire souffre de tout. I1 est condamné à tout comprendre ou rien. Le capitaliste se contente de rechercher l’argent, l’homme d’État le pouvoir. Le prolétaire, contraint pendant une brève période de quelques siècles à rechercher l’argent, est déjà contraint de rechercher la pensée.L’énigme qu’est devenue sa souffrance (l’esclave, si son maître était méchant, savait de quoi il souffrait) est sa véritable souffrance. Sa misère est devenue vraie parce qu’elle le contraint à rechercher la pensée, elle le contraint à tout comprendre. C’est le sens de la hâte, de la précipitation que met la racaille universitaire et politique à fournir « sa » réponse à cette énigme qui vraiment devient trop dangereuse, trop manifestement dangereuse pour elle en ceci que cette énigme commence à fournir elle-même ses propres réponses pratiques et théoriques. La misère du prolétaire se connaît enfin comme misère de la pensée pratique, comme pensée qui échoue à comprendre sa propre misère.