Ca ne démontre pas grand chose sinon qu’il n’achète pas de pains au chocolat. C’est son droit. Ces journalistes créent des polémiques sur des sujets sans la moindre importance.
C’est aussi ce que je me suis dit en lisant cette phrase ! Comment tordre la réalité afin de servir son propos. Je pense que ce monsieur ne réalise pas la chance de l’époque qui est de créer une activité parallèle à son emploi salarié (pour celui qui en a un et qui souhaite le conserver) afin d’améliorer le quotidien dans un premier temps et de s’affranchir du piège du salariat (et de ses salaires faibles et limités par nature, quel que soit l’effort déployé) une fois qu’on a goûté aux charmes de l’indépendance. Même si, je réitère mes propos, tout n’est pas rose lorsqu’on est indépendant. Pour autant, le salariat est-il un monde merveilleux ? J’en doute.
Bien d’accord avec votre portrait : l’immobilier n’est pas une sinécure dans les faits mais force est de constater que nombreux (trop nombreux ?) sont ceux qui le perçoivent comme tel.
Ce que je propose exige certes travail, discipline et motivation. Au moins autant que la gestion locative de trois appartements si je me réfère à vos propos avec des perspectives plus réjouissantes et moins destructrices pour l’économie. Mais j’aurais pu également proposer la version plus douce : investir dans des franchises de lavages automatiques par exemple. Du boulot, certes, mais plus cadré grâce au franchiseur.
Quant au contenu de l’article, merci de ne pas me prendre pour une imbécile. L’auteur dresse un portrait noir du statut. Je précise simplement que, non, tout n’est pas rose, mais que tout n’est pas noir non plus.