Bonjour, j’ai passé le confinement en Espagne. On a eu un confinement très stricte. On n’avait pas le droit de sortir se promener, juste d’aller faire des courses. Il y avait de la police partout. Votre début d’article : « Elles roulent au ralenti, remontent en douceur la rue bordée de terrains vagues aux herbes vagabondes et d’entrepôts abandonnés. Des silhouettes brisées se détachent à l’ombre des arbre » est simplement impossible en plein confinement en Espagne. Ce qui se passait : les « puteros » (on appelle comme ça en espagnol aux hommes qui vont chez des prostituées) emportaient des sacs avec de la nourriture, pour dire á la police qu’ils allaient faire des courses, et puis ils allaient chez la prostituée. L’amende pour ne pas faire le confinement étant 600 euros.
Le féminisme veut l’égalité et connecter avec l’humanisme, est-ce si horrible, sommes nous des démons-pétasses pour cela ? Généraliser un comportement inadéquat à l’ensemble d’un mouvement c’est de la pure manipulation.
Je suis pour le féminisme anticapitaliste.
Je trouve misogyne votre article, et je suis inquiète pour vos élèves filles.
Oui, je suis désolée pour vous, pauvre pigeon, en France même les femmes africaines sont libres, et c’est interdit de leur frapper. La police peut venir à la maison pour vous dire que vous avez été un mauvais garçon, c’est super injuste !Épouse de qualité" je le traduis par esclave : Ne pas sortir de la maison, faire le ménage, avoir du sexe quand vous voulez, et toujours sourire. Votre archeo-machisme a un petit problème de décalage avec la mentalité des femmes, même africaines.