A Lire sur internet : COLONEL HONORAIRE JACQUES AMIOT
Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la santé, Quoiqu’il puisse m’en couter je n’hésite pas à affirmer que vous êtes des criminels et j’associe à cette accusation tous ceux qui vous soutiennent dans votre funeste besogne : certains élus, journalistes, (je ne généralise pas). Vos premiers crimes remontent au début de 2020 quand, par décret, vous avez refusé aux médecins généralistes la possibilité de soigner leurs patients sous des prétextes fallacieux.
@ETTORE, il y a une similitude, 21/12 annonce en réalité un coup d’Etat, mi Janvier après que la loi soit adopté, c’est la mise en pratique de
« Chapitre Ier
« État de crise et état d’urgence sanitaires
« Section 1
« État de crise sanitaire
« 2° Le ministre chargé de la santé peut, par arrêté motivé :
« a) Autoriser l’adoption et définir leurs modalités de mise en œuvre, de mesures individuelles qui, afin de prévenir la propagation d’une infection ou d’une contamination, ont pour objet le placement et le maintien en isolement des personnes affectées ou contaminées, au sens de l’article 1er du règlement sanitaire international de 2005, ou la mise en quarantaine des personnes susceptibles d’être affectées ou contaminées, au sens du même article 1er qui :
« ‑ soit entrent sur le territoire national ou qui, déjà présentes sur le territoire national, arrivent sur la partie continentale du territoire métropolitain, en Corse ou dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72‑3 de la Constitution. Le ministre peut le cas échéant limiter les mesures de quarantaine aux personnes en provenance de zones concernées par la présence ou la circulation active d’une source d’infection ou de contamination. La liste de ces zones fait l’objet d’une information publique régulière ;
« ‑ soit se trouvent ou ont séjourné, sur le territoire national, dans une zone concernée par la présence ou la circulation active d’une source d’infection ou de contamination, ou ont été en contact avec des personnes affectées ou contaminées et qui, de ce fait, présentent un risque élevé de développer ou de transmettre l’infection ou la contamination ;
« b) Prendre, sous réserve du 1°, toute mesure permettant la mise à la disposition des patients de produits de santé ;
« c) Prescrire, sous réserve du 1°, toute autre mesure relative à l’organisation et au fonctionnement du dispositif de santé.
Voilà que qui nous attend : Au matin du mardi 2 décembre 1851 - jour anniversaire du sacre de Napoléon Ier en 1804 et de la victoire d’Austerlitz en 1805 -, les Parisiens découvrent sur les murs de la ville deux affiches-proclamations, adressées à la population et à l’armée. Le président de la IIe République, Louis Napoléon Bonaparte, y annonce la dissolution de l’Assemblée législative, qui a refusé de modifier la Constitution de 1848 et l’empêche ainsi de solliciter un nouveau mandat présidentiel en 1852 ; il invite le peuple de France à lui donner mandat pour rédiger une nouvelle Constitution lui permettant de se maintenir à la tête de l’État, avec des pouvoirs accrus . Dans un premier temps, 26 884 personnes sont arrêtées, essentiellement dans le Sud-Est, le Sud-Ouest et quelques départements du Centre 106, 21 000 sont condamnées par des commissions mixtes (composées dans chaque département du préfet, d’un général et d’un magistrat) dont 9 530 à la transportation en Algérie et 239 autres au bagne de Cayenne. Les 250 chefs présumés de l’insurrection sont traduits devant un conseil de guerre 98 tandis que 66 députés, dont Victor Hugo (qui s’est déjà enfui à Bruxelles pour un long exil), Schœlcher, Raspail, Edgar Quinet, Adolphe Thiers, Prosper Duvergier de Hauranne, Charles de Rémusat 107 sont frappés de proscription par un décret présidentiel.
@njama ( le marxisme me plaît bien parce qu’il tend du moins en théorie à rétablir de l’ « équité » entre les hommes, politiquement (droits) et économiquement, et en cela qu’il respecte cultures, et religions...) Vous vivez dans la légende politique ;