Dommage qu’en contradiction avec les supposés centres d’intérêt de l’auteur, l’usage du français y soit si malmené par la quantité de fautes d’orthographe qui ne sauraient exister dans un texte ne serait-ce que relu une fois.
@véronique L’auteur n’a pas osé dire « immigrés », il a mis « pauvres » à la place, ça vous classe moins dans les courants « douteux ». Et pourtant ces deux termes sont loin d’être synonymes. Il y a des migrants logés par la ripoublique qui sont bien plus aisés que les enseignants débutants, ou que de vrais pauvres, bien Français ceux-là..