Curieux et chercheur de réponses aux grandes questions de l’Humanité. Depuis que j’ai constaté froidement le piteux état de notre monde, que cet état allait en empirant inexorablement et que j’ai cessé de croire que le hasard y était pour quelque chose, j’essaie d’identifier et de dénoncer les mécanismes qui sont responsables de cet état. Profondément optimiste, je suis persuadé que grâce à la prise de conscience et à l’acceptation de notre responsabilité individuelle, suscitées par des raisonnements souvent bannis de notre pensée conformiste rassurante, nous pourrons commencer à choisir un avenir différent, un avenir conforme à l’image de notre rêve le plus beau.
Merci pour votre réaction. Je ne vois pas de contradiction dans ces phrases. Avec une majorité à l’assemblée, le parti en place ne fait pas que définir et proposer une politique, il l’impose (même s’il pense le faire dans l’intérêt commun). Il n’est jamais démocratique de ne pas avoir de contradicteurs avec lesquelles confronter ses idées. Je ne sais pas ce que vous entendez par « pragmatisme dans l’intérêt commun », mais toutes les pistes sont à explorer
Merci pour cette réaction. Je suis entièrement d’accord avec vous Philippe. Je me suis concentré sur le point précis de ce « besoin de majorité » dans cet article pour ne pas m’éparpiller. La critique du mode de scrutin n’y est qu’implicite, mais il est clair que celui-ci empêche la représentation de l’ensemble du peuple à l’assemblée.