Effectivement De Gaulle (qui n’a jamais aimé les Anglais) a vu « rouge » quand il a su, par espionnage, que ceux-ci avaient décidé de réduire l’influence de la France au Moyen-Orient. Il a fait tuyauter. Ben Gourion qui dirigeait le terrorisme et la politique sioniste depuis son appartement parisien (ce que beaucoup ignorent) ; y compris par ses fidèles restés à certaines commandes quand lui, De Gaulle, quitta le pouvoir en Janvier 1946. Mais, paradoxalement, c’est contre l’avis du Ministre des Affaires étrangères MRP Georges Bidault que le président de la république socialiste Vincent Auriol donna consigne à notre représentant à l’ONU Alexandre Parodi de voter pour la fondamentale résolution 181 qui n’était qu’une recommandation dite « du plan de partage » (en trois entités) ; suite à la pression décisive du très influent franco-juif socialiste Léon Blum. La France (gaulliste et socialiste) qui entraîna le vote indispensable de la Belgique (contre l’avis de sa commission des affaires étrangères) , des Pays-Bas et du tout petit Grand Duché du Luxembourg, est donc essentiellement co-responsable, avec Truman et Staline (aux objectifs évidemment contradictoires) , de la dramatique situation actuelle de ceux majoritaires des Palestiniens qui sont, nuit et jour, déshumanisés ; et en particulier ceux qui sont torturés et/ou prisonniers.dont environ 100 femmes et 350 enfants.