@ M. Villach
Lecteur récent de vos articles, j’apprécie vos analyses et vos éclairages.
N’y a-t-il pas pourtant un mélange inhabituel dans cet article-ci ? Vous décortiquez la forme de cette campagne de publicité et la rapprochez du désastre dans lequel l’incurie a plongé l’enseignement, et en particulier le secteur public.
Mais pourquoi voulez-vous empêcher de modifier l’image de la profession dans l’esprit des gens ?
Revaloriser l’image de l’enseignant ne peut-il pas permettre qu’il soit moins méprisé par ses concitoyens ?
Comment analysez-vous plutôt le fait que l’enseignement catholique aient, lui aussi, besoin de faire campagne pour drainer des candidatures ? Ce besoin parait étonnant, car nous savons que généralement les conditions d’enseignement y sont plus favorables que dans le public.