Ah oui, pardon. La détermination sexuelle n’a rien à voir avec le sujet de l’orientation sexuelle. Des taux de testostérone aussi variés que dans les populations hétéro ont été detecté chez les homos.
La situation est aujourd’hui moins polémique qu’à l’époque. Aucune organisation psychiatrique ou psychologique
majeure d’Occident ne considère l’homosexualité comme étant une maladie
ni un sujet d’intervention en tant que tel. Au contraire, beaucoup d’entre ellesdénoncent fermement tout essai de changement d’orientation sexuelle
comme étant dangereux, non nécessaire et inefficace. Le consensus dans
la communauté psychiatrique et psychologique est que l’homosexualité est
soit innée alors qu’il n’y a aucune preuve de la présence de ce gène,
soit apparaît très tôt dans la vie (sans pour autant être sûr de
l’origine précise de l’orientation sexuelle), et est immuable (bien que
la compréhension de son orientation sexuelle puisse évoluer au cours de
sa vie).
Faux. Le cordon ombilical tombe de lui même au bout de quelques jours de toutes façons et il ne contient aucun nerfs susceptibles de provoquer le genre de douleurs que le prépuce, hyper innervé, crée quand on le coupe. Une affirmation = 2 erreurs.
Ensuite, les études montrent qu’un enfant ayant subi cela aura des séquelles : moins grande résistance à la douleur, propension à certaines pathologies mentales et j’en passe tout ça plus les histoires d’impuissance à terme, de perte de sensibilité plus les risques inhérents à toute intervention chirurgicale : des dizaines d’enfants meurent dans le monde, par an, à cause de complications, et pas seulement dans les pays du tiers monde, aux usa par exemple : ça fait cher payé pour une coutume barbare inutile et nuisible.
Extrait « rigolo » : Attitudes about people, life and the future,
may also be affected ; e.g. a common attitude resulting from
childhood trauma is a lack of trust and a sense of
defencelessness.