Lorsqu’il pointe le capitalisme financier et la mondialisation comme les causes principales de nos malheurs, lorsqu’il démontre, chiffres, faits, perspectives historiques à l’appui, que la crise de l’euro et des dettes souveraines ne sont que les ultimes avatars de la « financiarisation du monde », nous le suivons sans réserve. Lorsqu’il cogne à tour de bras sur les banques, les technocrates de Bruxelles, les nains de la BCE et du FMI, tous les « affameurs », toutes les fausses élites qui font leur miel du malheur des peuples, et lorsqu’il fait huer les « ours savants » de la social-démocratie, ces capitulards qui ont déjà voté en acte ou en pensée les mauvais traités que l’Allemagne veut nous imposer à toute force, nous les conspuons avec lui de bon cœur. Combien sont-ils aujourd’hui à tenir ce langage et mener ce combat ? Hein ? Combien ?
Tous ceux qui errent ne sont perdus ;Le Vieux qui est fort ne dépérit point.Les racines profondes ne sont pas atteintes par le gel.Des cendres, un feu s’éveillera.Des ombres, une lumière jaillira ... »