• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Stéphane Swann

Ingénieur, physicien, poète et amateur de tout bord né à Paris en 1972.
Mes sujets de réflexion concernent principalement :
  • Les implications epistémologiques de la physique moderne,
  • L’analyse de l’histoire par le vecteur de l’histoire universelle,
  • L’histoire des idées

Tableau de bord

  • Premier article le 26/09/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 3 77 78
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique






Derniers commentaires



  • Stéphane Swann 28 septembre 2007 20:25

    Ce que je trouve plus amusant encore, c’est que vous répondiez à mes observations en vous restreignant à la partie anecdotique...

    Ceci dit, il est important d’en apprendre chaque jour. Ce que vous constatez dans votre milieu est légitime... Et il me paraît tout à fait naturel qu’un jeune lycéen ayant un bon niveau d’anglais aille lire Harry Potter dans le texte étant donné le phénomène de société qu’il a généré... Mais ce même lycéen ira-t-il lire pour rester dans la littérature anglaise pas trop difficile sur le sens : Dickens ou Stevenson ? Je ne crois pas. On n’a jamais rien démontré avec de la dialectique...



  • Stéphane Swann 28 septembre 2007 20:09

    Vous caricaturez l’université... Et parler de vrais « bac +5 » me choque un peu... La question est : les classes prepas alimentent quelles grandes écoles ? Et quelles grandes écoles sont sanctionnés par des diplômes considérés comme « les vrais bac + 5 »... Celles du groupe 1 (indiscutable), du groupe 2 (probablement), du groupe 3 (beaucoup plus douteux) ? Parce que pour le coup, il y a quand même à boire et à manger dans les écoles du groupe 3... Et pourquoi y a-t-il autant d’écoles du groupe 3 ? Pour ajuster l’offre à la demande et ne laisser personne sur le carreau en sortie de prépa... Donc question ouverte : plutôt que de réformer les classes prépas, ne vaut-il pas mieux réformer les accréditations accordées à cette masse d’école privées excessivement mal contrôlées et qui produisent trop souvent des « bac +5 » d’un niveau général plutôt moyen ?



  • Stéphane Swann 28 septembre 2007 19:19

    « En revanche, je suis effaré par tous ces colonisés volontaires aperçus sur ce site, apparemment pas choqués par l’invasion ridicule de l’anglais dans le langage bobo, la publicité (avec traduction du slogan en bas de l’affiche, écrit en tout petit, pour bien nous montrer qu’ils nous prennent pour des demeurés), des prime time etc... »

    Ce n’est pas qu’ils nous prennent pour des demeurés, c’est la loi... malheureusement la loi a omis (?) de préciser la taille minimale de la traduction du slogan...



  • Stéphane Swann 28 septembre 2007 18:47

    Et c’est un nom d’origine anglaise smiley



  • Stéphane Swann 28 septembre 2007 18:33

    @ L’auteur

    Un article dithyrambique et plein de certitudes, sous couvert d’une modernité inéluctable et d’une grande ouverture d’esprit. On s’y tromperait. Vous évoquez là un milieu relativement intellectualisé dans lequel vous évoluez et ou l’anglais facilite certainement la communication.

    Détrompez-vous, votre discours n’est pas nouveau et vos prophéties non plus.

    La nécessité d’une langue de communication est née avec les premiers échanges, et pour l’Europe et le bassin méditérrannéen : le phénicien, le grec, le latin, l’arabe, le français, l’anglais se sont tour à tour succédés... Et voilà que vous nous dîtes que c’est la fin de l’histoire, on en restera-là... Mais c’est un syndrôme bien connu que de croire que chaque époque est la fin de l’histoire...

    On doit pouvoir démontrer que l’anglais a régressé (ou stagne) en tant que vecteur de communication (i.e dans le nombre de champs d’application). Paradoxalement le développement de l’internet des réseaux de (télé)communications, ont favorisé (sans jugement de valeur) au contraire la diffusion communautaire cloturant le débat de savoir si l’anglais est candidat a être la langue universelle... L’anglais est comme toutes les langues qui l’ont précédée dans le rôle qu’elle occupe : un vecteur d’échange scientifique et commercial...

    Votre anecdote sur « Harry Potter » est amusante, parce qu’il s’agit d’un épiphénomène dont je connais bien « les victimes »... Jeunes étudiants, jeunes ingénieurs fortement diplômés... Donc de là à s’en servir comme argument dialectique consistant à faire d’un exemple, qui voudrait que les auteurs anglographes soient très couramment lus dans le texte, une généralité, est assez fallacieux...

    Enfin, vous avez sans doute peu voyagé, mais je n’ai jamais senti autant de marque de respect de considération et d’amitié à l’étranger, que lorsque par quelques mots d’Espagnol, d’Italien, d’Allemand (qui ne sont pas plus difficiles que l’anglais...) j’ai tenté de me faire comprendre et souvent avec succès... C’est ça qui est merveilleux quand on va vers l’autre... Vous supportez, vous, qu’un anglophone vous apostrophe en plein Paris en anglais sans même essayer de baragouiner deux mots de français ? Moi non.

    Stéphane Swann

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv