Pourquoi,
faut-il
faire partie d’une certaine « catégorie
ou genos » pour réussir ?
Nous ne somme pas de vils personnages, encore moins des canards
boiteux, nos
seuls péchés s’ils en sont, pourraient être la naïveté et la mollesse,
celles
d’avoir suivis et soutenus les idéaux de nos dirigeants pendant cette
décennie
écoulée, dans l’unique but de faire de notre pays « le futur Eldorado
Européen des Nouvelles-Technologies », un leader compétitif face aux
Etats
voisins de l’UE. Le mot d’ordre prépondérant fut celui consacré à
l’Education,
notre chemin de croix national et fédérateur était basé sur le terme
immuable
des hautes études, puis études supérieures, promesses, réformes, etc.
Sur ces
deux secteurs tendances, la « Scolarité et la Recherche &
Développement », depuis au bas mot1998, là où divers problèmes concernant les Jeunes Diplômés ont
commencés à se faire ressentir. A l’heure où la Grande Crise a accentué
ce
processus bien connu dès lors, il est temps de faire le point sur nos
conditions de vie désastreuses dans ce pays dit des « Droits de l’Homme
et
du Citoyen » (pour qui ?). Constatations alarmantes généralisées, où
a bien pu passer notre dignité, nous l’a-t-on volé ? Nous sommes
actuellement devenus des indigents sans emplois, sans aides, sans
ressources
quels qu’ils soient. N’oublions pas que, ce qui jadis était une
minorité
quantitative ne l’est plus et représente bientôt plusieurs centaines de
milliers d’âmes errantes.
Trois
conséquences
directes souvent méconnues :
1)Vivre
au crochet des siens (comme un poids supplémentaire), eux mêmes le plus
souvent
endettés et à cours de moyens financiers, n’excluant pas la grande
possibilité
de leurs licenciements.
2)Se
retrouver seul et à la rue (futur boom du SDF 2009-2010).
3)Celle-ci
et non des moindres, le ras-le-bol généralisé touchant les 18 – 28 ans
les
poussant à mettre fin à leurs jours ! (augmentation également
significative)
Sommes-nous
seulement devenus les oubliés de la crise 2007 « génération
sacrifiée » ? Où simplement
l’indignation d’une nation périclite ?
PS : Que
reste-il à un jeune ingénieur ayant poursuivi par une Admissibilité à
l’ENA,
parlant le français, l’anglais et le russe, après plus d’un an
d’inactivité, et
plus de « 340 candidatures »
pour tous types de postes et de qualifications vaines, vivant en
dessous du seuil
de pauvreté mondial (1.25 USD par jour) ?
« La misère a parfois un visage et un nom »
Stéphane
Espérons que cette situation ne perdure pas ! Ceci est un « vœu pieux »