C’est cela oui. C’est certainement pour cette raison que les meilleurs résultats, proviennent d’établissements confessionnels, que ceux qui séparent filles et garçons sont côtés et jouissent d’une excellente réputation à l’international et même chez nous en France.
Ce « progressisme » poubelle, les parents consciencieux l’évitent dès qu’ils le peuvent. Et puis merci de laisser aux chrétiens l’avis qui est le leur, contrairement à ce qui est sous entendu ici les chrétiens ne sont pas des passoires et ça n’est pas parce qu’ils et elles ne sont pas représentées que n’importe qui peu se permettre d’écrire ou d’affirmer n’importe quoi en leur nom.
On notera que ce n’est pas parce qu’on ne se reconnait pas en Boutin que l’on va nécessairement applaudir les égarements conflictuels d’idéologues.
Pas faute de l’avoir indiqué à la cantonade au vu du petit nombre de manifestant et de la connivence de l’opposition ukrainienne avec les Etats-Unis et son paravent qu’est l’UE. « Vous êtes un conspirationniste », « antiaméricanisme primaire », « antieuropéen » et autres noms d’oiseaux comme réponses.
Au final le plus étonnant c’est que la presse grand public en parle mais en même temps, vous me direz, ils n’ont pas le choix.
De Gaulle n’avait pas accepté, mais faute d’une majorité politique de son envergure (le fruit était déjà pourri de l’intérieur par la présence d’européistes/obstacles à toute tentative indépendantiste) il s’est trouvé pieds et poings liés face à l’UE. Mitterrand savait, lui aussi, sa citation relative à la guerre économique des USA menée à l’endroit du reste du monde n’a jamais fait l’objet des suites politiques légitimes qu’elle aurait dû générer. Qu’il est loin le temps où ce pays était gouverné par un Homme d’Etat.
Excellente initiative, elle contribue à l’éveil citoyen. Les gens devraient se réapproprier cet espace, les technocrates et politiciens n’ont conservé que depuis trop longtemps l’exclusivité de la chose politique.
Il faut en effet déprofessionnaliser la politique et réduire drastiquement le nombre de nos « représentants » issus du moule en faveur de citoyens dotés d’un projet qui ne répond qu’à l’intérêt général et non pas à l’intérêt d’une caste. L’exemple islandais est là pour nous rappeler que la solution viendra du peuple pour le peuple et non de politiciens attachés à leurs privilèges et incapables de concevoir le débat public autrement qu’à travers les clous d’un vote entre des candidats imposés et non choisis sinon par leurs pairs, petites magouilles et partages de fiefs entre amis.
Merci d’avoir répondu. J’ai bien pris connaissance du fait que votre programme concernant l’Europe soit en cours d’élaboration, néanmoins les grandes lignes de ce que l’on peut en lire en tant qu’ébauche ne laisse que présager d’un énième discours sur une « autre Europe » qui ne se fera jamais puisque cela supposerait l’entente de tous les Etats membres. Or les intérêts de la France relèvent des seuls intérêts de la France, son histoire, sa culture et son modèle social n’ont rien à faire sur une table de négociation politique elles s’imposent à tous. Il est assez stupéfiant qu’il soit nécessaire de devoir en faire un combat politique, c’est dire dans quelle situation catastrophique nous nous trouvons.
Nul ne peut vous reprocher de présenter voire de défendre vos idées, naturellement. Pour autant le pays ne fonctionnera que si ce qui lui tient lieu de classe dirigeante se réapproprie demain les outils nécessaire à sa gouvernance c’est-à-dire la création monétaire, la maîtrise de ses frontières, et naturellement, la possibilité de faire obstacle aux économies agressives via des taxes et des mesures d’effet équivalent. Dans l’histoire d’une Nation, rien n’est inéluctable et tout reste à faire.
Le protectionnisme est peut-être le pire ennemi de la finance mondiale mais c’est encore la seule garantie des nations de conserver leur intégrité et la direction de leurs affaires comme dans n’importe quel Etat souverain. La Chine, les Etats Unis, la Russie, le Royaume Unis l’ont parfaitement compris, il n’y a aucune raison pour que le petit village gaulois ne puisse redevenir maître de son destin.