Ces histoires de dettes ne sont que des transferts entre différentes classes sociales : nous consommons des biens qui sont produits par le système productif, pas de l’argent !!! Rien n’empêchera les générations futures de consommer les biens produits par le système productif qu’elles auront à leur disposition (si l’on pense à elles, il faut arrêter de désindustrialiser et protéger les ressources naturelles indispensables à la production).
Une chose est sure, les classes dominantes espèrent bien retirer énormément de l’endettement des états. Il faut se rappeler que si il y a débiteur il y a créancier !!!!
La créance néo-libérale est un mécanisme par lequel des gens échappant à l’imposition avancent sous forme de prêts à l’État les impôts que cet État s’est interdit à lui-même de prélever.
S’adressant à la Chambre Basse de la Diète (Parlement), le professeur
Tatsuhiko Kodama, président du Centre des Radioisotopes de l’université
de Tokyo, dresse un bilan alarmant de la situation, au 27 juillet
2011. Ne masquant pas sa colère à l’égard des institutions
gouvernementales et de TEPCO, le professeur Kodama met en évidence la
désastreuse gestion de la catastrophe nucléaire de Fukushima.
Et au passage on en apprend sur les conséquences de Tchernobyl et de certains actes médicaux....