Premier pas : créer des circuits courts (AMAP). Tout le monde peut s’activer à cela. Même si l’effort ne semble pas assez conséquent car les résultats ne seront visibles qu’une fois un seuil critique franchi, il est assez jouissif de ne plus leur donner notre argent (source de leurs profits et comportements) et de bénéficier de meilleurs produits en faisant vivre un producteur correctement.
Tant que l’on parle de l’Iran, il est bon de faire cesser cette rumeur « l’Iran veut rayer Israël de la carte » , reprise sans cesse et partout (pas dans cet article, ce qui me rend un peut HS mais il faut le savoir).
L’industrie pharmaceutique privée maîtrise bien les processus de fabrication, mais il faudrait à tout le moins que la sécurité sociale puisse donner des objectifs de recherche (c’est à dire orienter la recherche vers de médicaments utiles plutôt que lucratifs) et qu’elle soit maître des phases de test...
Même pas besoin de nationaliser (c’est un sujet « polémique » et très politique, ce qui fait que cela ne risque pas d’arriver) pour avoir des résultats en termes de santé publique.