D’abord, les cas sont certainement très rares ! Aucune possibilité de se masturber ou de mettre en route un sex-toy...
Des « machines » existent déjà : vagin artificiel, vibros... Le placement des ces accessoires devrait absolument être effectué par des bénévoles et gratuitement. Si il y a paiement, c’est de la prostitution.
Il faudrait aussi arrêter de créer un « besoin » en passant des films pornos pour soi-disant calmer les personnes handicapées (les hommes évidemment).