Un professeur d’économie dans un lycée annonce fièrement qu’il n’a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c’est la classe entière qui a connu l’échec.
Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n’y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.
Le professeur dit alors : “OK, donc nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.
Après le premier contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n’avaient rien fait et qui eux étaient ravis.
A l’approche du second contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s’étaient donné de la peine pour le premier test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20 ! Personne n’était satisfait.
Quand arriva le troisième contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d’oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu’un d’autre.
A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l’effort pour l’obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n’essaie de réussir.
Les choses sont aussi simples que ça.
Petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses :
“Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche.
Tout ce qu’un individu reçoit sans rien faire pour l’obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit.
Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu’il a préalablement confisqué à d’autres.
Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela, mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation.
On n’accroît pas les biens en les divisant.”
Une autre manière de se poser la question c’est de se demander comment la gauche a-t-elle pu se maintenir au pouvoir depuis l’échec du socialisme historique.
Où ca ? En France, la gauche est morte en 1983. Et pour cause, elle s’est heurtée à un truc chiant : la réalité. A part le volet societal, il ne me semble pas qu’ils aient réellement influé sur le désossage de la sphere publique (voire y ont largement contribué), et aucun n’a remis en question le dogme liberal de l’économie de marché.
Et c’est bien leur probleme, c’est de considerer l’ideologie (la leur, evidemment) supérieure à la réalité. Ce qui ne marche souvent pas... Et l’illustration supreme est le delire sur le genre... Rien d’etonnant à ce que les gens fuient, hormis interets categoriels bien compris (les banlieues), les principaux concernés (LGBTQ+), et les bobos des metropoles qui ne souffrent pas des conséquences de leurs votes.
Plus qu’à faire se rendre à l’évidence les millions de neuneu qui etaient prets à laisser crever leur voisin juste parce qu’il ne pensait pas comme eux. Et dans la foulée, qu’ils fassent le lien avec l’endettement, la suppression des services publics, et la saignée fiscale qu’on se prend et qui ne fait que commencer
Sauf qu’à l’époque, quand les gens un tant soit peu sensés et mesurés appelaient à mettre en perspective le cout pour les finances publiques de ce delire absolu et le risque réel, on les traitait d’assassins un peu cons. Voire très
Et ben dansez maintenant ! Nos soussous sont dans la poche de Pfizer
Et là on est qu’au debut des défaillances d’entreprises, et on ne mesure absolument pas les conséquences psychologiques et éducatives des momes qu’on a torturés pendant des mois. Ni la contribution à la dégradation du tissu social, à la mefiance par rapports aux institutions et au discours public
Sans compter les multiples atteintes au droit, auxlibertés individuelles, le coup d’envoi au flicage numerique généralisé, etc etc...
C’est un veritable tournant civilisationnel dont on ne mesure encore pas les conséquences.
@xenozoid Si c’est ironique, je partage. Une maladie pour laquelle il faut se faire tester pour savoir si on l’a n’est pas d’un niveau de dangerosité si ingérable... Et à part engraisser les pharmacies, les tests pcr étaient moyennement efficaces Si ca l’est pas, si si je l’ai été (testé). j’ai meme passé pas mal de temps un cotillon dans le pif pour le boulot.