Déjà, faut avoir chez soi cette machine à geler le cerveau qu’est la télé.
Ensuite, faut vraiment avoir envie d’observer 22 gus courrir pendant 1h30 derrière un bout de plastic rond.
Et pour terminer, faut pas se souvenir que l’avenir s’annonce catastrophique, pas dans quelques décennies ou quelques années, dans quelques semaines.
Vivement qu’ils rentrent à la maison ! Avec un peu de chance, mardi soir.
Quand je pense qu’il va falloir se taper les JO, j’ai envie de chialer un bon coup.