50% qui se traduit par 100 mds pour un total de 350 mds soit à peine 29% et pas effacée simplement rééchelonné dans le temps qui fait le Grèce grace à l’extrême générosité de ce plan se retrouvera en 2020 avec une dette égale à 120% de son PIB actuel, soit la même situation avant que la crise commence. Je sais pas comment on fait pour avoir des élites aussi intelligentes !
La solution est certainement dans une inflation à 2 chiffres. La baisse
de valeur de la monnaie rendrait moins douloureux les efforts financiers
imposés pour l’équilibrage du budget. La dette perdrait de sa valeur et
serait plus facile à rembourser. Les inconvénients de l’inflation
concernent les créanciers qui voient leur capital fondre, mais aussi les
salariés et les retraités dont le pouvoir d’achat baisserait étant
donné le retard entre l’inflation et son rattrapage plus ou moins
partiel.
Ou pas, nous avons vécu après 1973 et pendant plus d’une décennie sous inflation à deux chiffres, les salaires et les retraites suivaient le cours et le pouvoir d’achat ne diminuait pas ou peu. De toutes façons, sauf à faire défaut, il n’y a guère d’autres solutions. Réduire la dette qui n’est trop élévée qu’au regard es intérêts versés et des recettes amassées, ne pourra jamais se faire dans des proportions suffisantes, sans mettre le pays à terre.