Enseignante en collège ; agrégée d'Histoire et passionnée de neuropsychologie, transmission et philosophie. Férue d'actualité et avocate d'une école républicaine de qualité pour transmettre le meilleur aux jeunes générations.
Concernant votre dernière remarque, vous m’avez mal comprise. Il ne s’agit pas de réclamer plus de moyens mais leur rationalisation avec des programmes cohérents qui ne prônent pas la « grande garderie du vivre ensemble » mais fassent progresser tous les individus. On est aujourd’hui dans le gâchis organisé d’énergies pleines de bonne volonté (les profs) et la fabrique du ressentiment, celles de générations bernées par un socle de compétences abscons et condamnées pour beaucoup à stagner dans le marasme intellectuel car l’exigence a disparu.