Sujet fort intéressant et complexe par ailleurs. A la question qui dicte le « la » ? Plusieurs réponses s’imposent :
- la data
- le clic
- les USA : musique, cinéma, série etc. et ce, bien avant les GAFAM me semble t il ?
Les GAFAM ne semblent pas avoir d’entreprise sur le théâtre par exemple qui reste une exception culturelle française.
Néanmoins, les GAFAM peuvent impacter les cultures populaires, voire les renforcer, si les politiques publiques s’adaptent. Il ne faut pas y voir que des aspects négatifs. A l’instar d’uber qui a révolutionné la vente à emporter et de nouveaux modes de consommation. Les françaises et français vont toujours au resto, donc s’attablent pour festoyer.
Quant à l’IHM (interopérabilite homme machine), je crains pour l’avenir avec l’IA. Tous les nouveaux entrepreneurs ne jurent que par elle. J’étais chez Google assister à une présentation d’entrepreneur hier et j’ai entendu IA à toutes les épices.
Il faut créer une autorité qui donne des conseils à la population sur le bien ou mal fondé de telles utilisations, applications à l’instar du gouvernement qui a décidé de stopper avec WhatsApp, Telegram, TikTok etc.
Une note d’espoir dans ce texte : ah ! Enfin, le
discernement, terme banni depuis que les 68-tards et bien d’autres successeurs ignares
et béats l’ont jeté aux orties avec la chrétienté. Je pense que ce n’est pas le
bon moment pour toucher la Ve République, il aurait fallu que Macron soit un
peu plus humble, visionnaire et organisé pour poser la question avec nuance.
A lire donc les ingénieurs du chaos c’est
très bien écrit … il est à craindre que dans la France sans président,
chancelier ou ministre fort, mais aussi responsable, viendront 10 clones de Mélenchon,
qui laisseront place à un mec à poigne façon Erdogan mâtiné de Beppe Grillo
(lui, au moins, a eu l’élégance de se retirer au bout de quelques mois, Salvini
un peu moins).
J’ajouterais que nos gouvernants offrent un curieux spectacle en
gardant les yeux rivés sur le thermomètre de leur popularité, la main tétanisée
sur la judicature et le gosier coincé dans le micro des radios, pour
quelques-uns, mainstream et trottoir indifféremment ...
Résultat : tout et son contraire. 2020 ou 2021, 7 milliards
pour St Gobain et quelques autres dans le domaine du bâtiment, 2022, 100
milliards sur un bouclier énergies fossiles démagogue et absurde (de peur que
les GJ se réveillent), à peine 2 sur la rénovation énergétique du logement
individuel https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/07102021_PLF-2022_Logement.pdf
ALORS ?
Qu’est-ce qui donne envie le plus de pleurer ?
1/ Le coup de frein sec et définitif de dernière seconde et avec
œillères sur les retraites, pour faire semblant de tenter d’amadouer nos
créanciers internationaux, ou la frénésie de l’opposition et d’une partie des
corps intermédiaires à taper dans la gamelle ?
2/ Le foutage de gueule des écolos sur l’indépendance
énergétique à grands coups de subventions qui vont droit en Chine et chez notre
voisin d’outre-Rhin, ou le Duff qui jette l’éponge d’un projet industriel qui
aurait créé 500 emplois locaux, réels et en bien dur, parce que les écolos le
feraient patienter 10 ans pour avoir l’autorisation, quand c’est 2 ans hors de
France ?
Merci à Pauline Gavrilov pour son analyse très perspicace, suite à l’OPA de Jean-Luc Mélenchon sur le Parti socialiste.
Ceci ayant pour seul objectif la prise de pouvoir de Mélenchon (Premier ministre). Si cet objectif n’a pu être réalisé, le résultat est une gouvernance prise en tenaille entre deux extrêmes, réactualisant le thème du Bateau ivre de Rimbaud.
Si pour certains, la solution consiste dans la destruction de notre société pour une reconstruction sur de nouvelles bases ; après les larmes et les pleurs, seules quelques huttes pourraient être reconstruites.
Toute notre Histoire est emplie de ces faits depuis 1789.
La solution ne consisterait-elle pas à partir d’une certaine stabilité à définir des objectifs réalistes qui pourraient nous permettre d’aller vers tout ce qu’il est important d’espérer, c’est à dire une meilleure planète et une meilleure vie pour chacun.
Les partis politiques, qu’ils soient de gauche, comme de droite se sont montrés inexistants dans la gestion de la pandémie du Covid-19. Ils ont été incapables d’adresser un message clair, susceptible de guider la population et d’attirer son attention sur les dangers de ce virus.
Ils n’ont pas su davantage mobiliser l’opinion publique à l’encontre des faiblesses des mesures gouvernementales, alors que les décisions sont venues tardivement, (fabrication de masques, de gel hydroalcoolique, confinement, fermeture des frontières, etc.).
Aucun parti n’a su réellement faire pression sur le gouvernement qui a fait preuve d’improvisation et d’insuffisances.