Vive la nature !!!Mais chacun sait bien que certaines plantes peuvent être aussibonnes quetoxiques ou mortelles (champignons vénéneux, hallucinogènes, etc ).Il faut donc s’en méfier tant que l’on n’a pas acquis la certitude d’une innocuité à long terme…
Le premier but à atteindre par nos dirigeants n’est-il pas d’assurer à tous nos jeunes la meilleure santé possible (le seul capital qui vaille) afin qu’ils soient heureux (sans troubles psychiques dont ils seraient d’inconscientesvictimes), qu’ils puissent réaliser leurs rêves, se projeter dans leurvie future, devenir rentables… Ce sont euxles étoiles de demain et la force vive de la nation !! Leur vie et décisions futures ne doivent pas dépendre de conséquences incontrôlables non souhaitées !!!
Le sort réservé au cannabis devrait, me semble-t-il, être rattaché au Ministère de la santé lequel doit tenir compte des avis éclairés des médecins et savants, notamment sur les conclusions d’études vérifiées sur le long terme… En attendant , le principe de précaution doit prévaloir…
La dépénalisation /abandon politique d’un problème il est vrai difficile, avec mise en vente libre de cette drogue à portée de tous les jeunes, me semblerait être particulièrement irresponsable, voirelâche vis-à-vis de ceux-ci !!
Pourquoi ne pas créer une sorte de campagne/information/prévention efficace, bien orchestrée, bien documentée (genre anti-tabac, anti-sida) àaborder en premier lieu à l’école chez les tous jeunes ( par exemple dans des cours d’instruction civique : sauvegarde de l’intégrité corporelle des autres et de soi-même…)
Tout d’abord je profite de cette réponse pour dire un grand merci à tous ces hommes qui ont le courage de soutenir la femme (mère, fille, sœur, compagne). Par ailleurs je rappelle que mon propos ne vise que la burqa, laquelle ne permet de voir le jour qu’à travers une ombre grillagée et qui de plus empêche toute identification oucommunication, ce qui est particulièrement choquant dans une république française laïque : liberté (notamment d’expression), égalité, fraternité.De plus le port de la burqa pourrait être ressenti comme une insulte ou un mépris envers le pays d’accueil, la burqa mettant ostensiblement un « mur » entre elle etles autres citoyen(nes)apparemment considérés commepeu fréquentables ?
Mon propos est autre pour tous les voiles qui laissent levisage découvert : possibilité de voir, de s’exprimer, de s’identifier, éventuellement de fraterniser… Nos « bonnes sœurs » d’antan (voile et cornettes) avaient une carte d’identité, vivaient librement leur foi, et même éventuellementla communiquait… Quant aux foulards, j’en ai portés de nombreux dans ma jeunesse (librement et à visage découvert : cette mode était bien pratique).
Merci pour votre soutien...pour la femme. Bien entendu une musulmane croyante, que je respecte d’ailleurs, peut sublir l’influence de sa religion et désirer porter la burqa... mais ne doit pas cependant obliger les lieux français publics et laïcs à s’adapter à sa religion en particulier... Etre sous influence ???... Je me suis posée une question : la photog. de fleurs sauvages que j’ai publiée.. Comment pouvoir apprécier de telles beautés à travers l’ombre grillagée d’une burqa ? Le Créateur aurait-il voulu cela ? Par ailleurs j’en profite pour signaler à certains que je ne suis pas une bourge, mais une « petite fille de français moyen », indépendante politiquement... et de libre pensée.
Par déférence envers mes lecteurs, des fleurs sauvages qui ondoient sous le soleil et dans le vent sont plus agréables à voir qu’une « vieille tronche de mamy », n’est-ce pas ? De souche, oui, depuis 1660 au moins... et indépendante ...