« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet, un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquise »
Jefferson.
Je ne fais que référence au raisonnement sous-jacent de l’acte de 1913 qui cristallisa la conversion des Etats-Unis en un des pays les plus dominés et l’un des plus contrôlés du monde civilisé. Lorsqu’une entité privée, bien que hasardement tributaire d’une officine, telle la réserve fédérale américaine qui rachéte de la dette qu’elle produit elle-même à partir de rien, cela relève plus de ce que je nomme « argent-dette » que d’un néo-libéralisme-doctrinaire.
C’est toute l’amoralité de ce sytéme vicié et vicieux que vous suggérez et je plussoie l’annulation que vous évoquez.
Néanmoins il faudrait voir plus loin, étant donné qu’il n y aurait pas d’argent sans dette, il faut penser plus loin l’annulation de la dette par la conceptualisation de systèmes monnétaires qui puissent tangenter « l’argent valeur » que nous fuyons inexorablement
Belle lurette qu’on a franchit le rubicon d’une presse fonctionnellement informatrice... Encore moins surprenant venant d’une presse assurément de droite.
UK = Etat gendarme par excellence, quand l’on retrouvera un peu de liberté sur le chemin de la providence, peut-être qu’on ne fustigera plus le factuel pour avoir non serait-ce que la conscience politique mais aussi le courage de réformer l’iniquité de nos systémes sociétaux
Je vous en remercie, néanmoins je ne pense pas que pareille analyse soit suffisamment rentable pour l’intelligentsia lobbyiste.
Parlons nous des politiques ou des élites enrichies ? Même si je vous accorde aisément le caractère superflu que l’on pourra accoler à ces deux étiquettes, il me semble que ce qui justifiait sûrement, qui justifie encore et qui justifiera assurément à l’avenir la réalité de nos systèmes économiques, c’est qu’il ne sont compris - à quelques éparses exceptions près - que par ceux qui les ont modélisés, instrumentalisés et qui en jouissent aujourd’hui encore en toute prodigalité. En substance, si tout un chacun comprenait que ce système est pure ineptie et sous-jacent de volontés subreptices, alors peut-être que nous sortirions de ce totalitarisme de « l’argent-dette ». Il est capital de comprendre les rouages de nos systèmes monétaires, de comprendre que la sacro-sainte réserve fédérale américaine n’est autre qu’une représentante d’intérêts privés et qu’elle n’est nullement tributaire d’une quelconque officine.
« Je pense que les institutions bancaires
sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes
au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées
contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui
fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession,
d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où
leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre
que leurs parents ont conquis »
Thomas Jefferson (1802)
Nous fêterons bientôt le centenaire de cet acte...
Ceux qui s’enrichissent sur notre non-culture s’éviteront toute phraséologie et y préféreront leurs circonvolutions comminatoires. Il y a tant à apprendre, de tous, pour tous...