Article intéressant pour l’information rationnelle (personnel des différentes parties de la commission). Mais un peu orientée je trouve...
Toutefois on peut se reposer la question du pouvoir des médias au même titre que l’exécutif, le juridique... et de leur séparation ! Un des fondements de notre démocratie qui se matérialise par le diversité et la liberté d’opinion, et d’opinion politique (c’est pour ça que je ne m’offusque pas plus que ça sur cet article).
Chose sur laquelle je suis d’accord concernant la constitution de la commission, il DOIT y avoir des artistes, ce sont eux qui FONT les contenus, et chose étonnante, ont souvent un avis plus éclairé sur la façon dont impacte ce dernier le publique ! Il me paraît donc fondamental qu’ils aient la parole à hauteur de 50%, parceque bien souvent sont plus sensés et pragmatiques que les décideurs (hors considération de la conjoncture politique cela va de soit, mais est-ce bien le rôle de cette commission ?).
Article intéressant parcequ’il pose le doigt sur une solution d’avenir, le passé !
En effet c’est le constat le plus simple que l’on puisse faire, nous trouvons des solutions aux problèmes qui nous sont posés chaque jour grâce à nos connaissances et à la façon de les croiser. Cela pourrait être la définition du Patrimoine et de ce que nous pourrions en faire dorénavant.
Mon projet de fin d’études portait sur l’accès au Patrimoine par l’hypermedia : comment utiliser le réseau sans fil pour rendre nos rues et les lieux patrimoniaux parlants, qu’on puisse se les réaproprier et commenter les informations si nous sommes férus du sujet en question. Une sorte de wikipedia géolocalisé. Mais le propos reste de dire qu’il faut faciliter l’accès à ces connaissances pour amener une discussion sur la façon de les réinvestir pour améliorer la situation actuelle.
On constate aujourd’hui que nombre d’agriculteurs se mettent au bio en reprenant des techniques ancestrales et constates qu’elles fonctinnent souvent aussi bien que les techniques chimiques employées aujourd’hui, sans les effets collatéraux... ! La question est, valoriser cette exception culturelle par le tourisme c’est bien, mais comment la fusionner dans la pierre angulaire de l’économie d’aujourd’hui : le knowledge management ?