Ils auraient mieux fait de relire leur classiques dont kipling qui en connaissait un bout sur l’afganistan
Et en ce qui concerne les Britanniques ? Se souviennent-ils du coût d’une guerre asymétrique ? Aucune armée étrangère n’a pu tenir longtemps en Afghanistan. Les Anglais ont perdu par deux fois (1840-1, 1878-80), et les Russes ont dû se retirer aussi.
Rudyard Kipling ne se trompait pas en écrivant en 1886 dans son « Arithmétique sur la frontière » :
Aucune proposition d’Euclide,
Aucune formule d’un manuel,
Ne détournera la balle qui te vise
ou le sabre qui s’abat sur toi.
Frappe fort celui qui doit, tire juste celui qui peut,
la victoire est du coté du pauvre.
et dans the young british sodier
When you’re wounded and left on Afghanistan’s plains, And the women come out to cut up what remains, Jest roll to your rifle and blow out your brains An’ go to your Gawd like a soldier. Go, go, go like a soldier, Go, go, go like a soldier, Go, go, go like a soldier, So-oldier of the Queen !
Suite à « un mort aux cons » dans des circonstances peu claires (sur une jeep, je crois) de Gaulle aurait répliqué « vaste programme, messieurs, vaste programme »
Le problème c’est plutot la grande porosité entre l’industrie et l’administration dans des organisme comme le HSE (UK), le MMS (USA), la FAA, etc., les pays anglo saxon vont chercher les compétences ou elles se trouvent et chez eux ce n’est pas à l’ENA. Les allez et retours sont donc fréquent entre organe régulateur et industrie. Ajoutons à cela que le monde du pétrole est petit, il y fort risque de complaisance si ce n’est de connivence. Quand au triste spectacle devant le sénat gageons qu’ils s’en tenaient strictement au script produit par les avocats de leur compagnies.
Article truffé d’erreurs (165000 psi erreur ordre 10 !) et tendancieux. Comme dans toutes les catastrophe industrielles, il n’y a probablement pas une cause unique et que cet accident est probablement le résultat d’une combinaison d’extraordinaire malchance et défaillances. N’oublions pas que l’industrie d’extraction pétroliere est l’une des plus sure au monde (un employé offshorre a 2 fois moins de chance d’avoir un accident grave ou mortel qu’un enseignant ). Si l’on considere une fuite a 5000 BOPD (hypothese haute) c’est 500 000 bbl sur les 100 jours estimé pour tuer le puits, pour info un VLCC type exon valdez c’est 2,5 MM de barils et que les fuites d’hydrocarbure naturelles du GOM (naturel seepage) sont estimée entre 90 000 et 200 000 tonnes par an. N’oublions pas que 12 personnes ont perdu la vie et que d’autres sont gravement touchées dont une partie en se portant au secours des autres. Ceci dit je suis d’accord sur les dispersants, il vaudrait mieux laisser la nature faire mais est ce politiquement acceptable ?
Le rechauffement climatique, un complot pour nous faire payer l’air via la taxe carbone ? Eoliennes, solaires le ratio energie produite sur energie consommée sur le cycle de vie, incluant matiere premiere transport installation maintenance et destruction ?, de toutes façon cela a été torpillé par un nucléaire hautement subventionné et qui reporte des couts pharamineux (retraitement stokage démentellement) sur les générations futures et in fine sur le contribuable (voir le modele anglais ). Quant aux systèmes de production décentralisés combinant chauffage et electricité à haut rendement type whispergen on est pas près de les voir en France