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Thierry LEITZ

42 ans, travailleur indépendant épris de liberté, s’intéresse à tout mais n’est fan de personne en particulier. Aime la lecture, l’écriture, le sports, l’économie à visage humain, la nature. Pense qu’il faut savoir critiquer les faits et pensées deshumanisantes, ne pas avaliser l’injustice au prétexte qu’elle abonde.

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  • Thierry LEITZ 8 mars 2010 17:19

    PJCA,

    Merci de faire entendre votre voix, originale et incitant à la réflexion.

    En effet, la tertiairisation pose de nouveaux problèmes : 

    - le coût constant du service qu’il faut produire à chaque utilisation
    - la disparition du service au cours de son utilisation
    - les biens industriels surtout durables sont achetés ponctuellement
    - les services sont constamment rachetés, par des usagers uniques

    Le service est le produit qui correspond bien à la société individualiste : chacun seul face au (gros) diffuseur de service, en situation de monopole ou quasi monopole.

    Alors, pourquoi pas optimiser la production de services ?

    Cela a déjà été fait autant que possible, mais on se heurte au problème de base souligné par PJCA.
    Le problème supplémentaire est la volonté de profit qui pousse à maintenir haut le prix des services, voire à les augmenter surtout s’ils ont un caractère incontournable (ce qui est presque toujours le cas). La volonté de maximiser le profit est celle du monopole PRIVE qui évacue les profits vers les « actionnaires » de préférence dans des zones fiscalement avantageuses.

    Le monopole d’Etat est pertinent quand il s’agit de péréquation, d’accès égal de tous à un service standardisé à un coût modique qui n’a pas besoin d’intégrer la voracité des grands groupes et leurs top-managers surpayés.

    La nationalisation du crédit ET des services de masse serait la voie à suivre, a l’opposé certes du libéralisme qu’on nous vend comme une fatalité depuis 30 ans et qui ne laisse à l’Etat QUE les centres de coûts et pertes.



  • Thierry LEITZ 4 mars 2010 16:53

    @ Céphale,

    Je n’ai pas jugé la qualité de votre article à son nombre de lignes. Il est d’ailleurs bien votre article, je l’ai dis, un bon rapport, bien documenté. La question n’est pas là.

    Simplement j’observe qu’il y a beaucoup à dire sur les problèmes techniques, espoirs lointains et coûts certains et bien peu sur l’utilité réelle. A ce prix, la demande d’utilité EST légitime. C’est notre argent (public). Il doit être bien utilisé. Qu’il ne le soit pas est un drame des démocratie et exaspère tout citoyen réfléchi.

    Je suis POUR la recherche fondamentale, mais pas avec une débauche de moyens qui masque -difficilement- l’indigence de la créativité conceptuelle.

    Là aussi, la modestie serait la bienvenue. Qu’on s’occupe d’abord de ce qui compte vraiment : la communauté humaine et son avenir.



  • Thierry LEITZ 4 mars 2010 13:18

    Parkway,

    3 giga euros pour traquer l’infime particule... Y’a comme un Higgs.

    Au début du 20è siècle des artisans géniaux ont fait des découvertes majeures dans un labo de lycée.
    Aujourd’hui, c’est l’inverse... smiley

    Quand allons nous étudier le rapport coût/bénéfice AVANT de ses lancer dans ces méga-projets ?

    Les kilo-tonnes, les méga-ampères, les giga-Ev et autres téra-watts c’est mégalo !

    Cà frise le zéro absolu ! Le vide, le vrai, il est là ! smiley



  • Thierry LEITZ 4 mars 2010 11:43

    L(adage « Ce qui est excessif est insignifiant » s’applique à la question du changement climatique.

    Tout est complexe dans ce problème : les mesures, leur fiabilité, leur recoupement, leur interprétation, leur évolution, leur conséquences, tout.

    On peut être raisonnablement sceptique, mais nier tout le travail du GIEC est tout autant malhonnête que de sonner les cloches de l’apocalypse. L’homme pollue plus que par le passé, c’est certain, le CO² n’est pas un poison , c’est certain aussi.

    Nous ne maîtrisons pas cette affaire-là, c’est évident.

    Alors que faire ?

    Cela renvoie plus à un choix de société qu’à une question technique noyée dans le jargon d’experts pas forcément clairvoyants.

    La question des motivations in fine des défenseurs de telle ou telle thèse doit être examinée lucidement. Toujours édifiant. smiley



  • Thierry LEITZ 4 mars 2010 11:31

    Encore un compte rendu assez bien documenté...

    Sur environ 100 lignes, 97 parlent d’espoir lointains, de longs délais, de problèmes techniques et de coûts considérables.

    3 parlent de son utilité.

    Le rapport avec la réalité est respecté.

    ITER, ISS, LHC, LM, même combat. Il ne manque plus que la colonisation de Mars. smiley

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