Un monde Sankara

Je vous propose aussi quelques photos plus précises :
Photo 1
Photo 2
Photo 3

Vous pourrez vérifier vous même avec la photo d’entrevue et une photo exclusive des lieux...
Photo 4

Bonjour Frederic,
Vous trouverez ci-dessous copie d’un commentaire déjà développé au-dessus sur la photo de M.Merah :

Pour ceux qui veulent faire le lien entre le témoignage de la dame à la maison blanche, et le passage de sa terrasse vers les toits, voici une vue de l’église par derrière (merci streetview) :

Photo1

Pour la « fraicheur » du corps de M.Merah :
En regardant attentivement, on distingue assez nettement une flaque de sang sous son épaule droite.
Il y a aussi quelques reflets rouges au-dessus de la tête, mais c’est beaucoup moins évident.

Autres éléments visibles sur la photo :

• Une trace de terre sur sa joue droite.
• Un écoulement brunâtre au coin droit de ses lèvres.
• Les écoulements de sang sur son visage.
• Le bout de tissu plaqué sur sa joue droite.
• Les feuilles sur son torse.
• L’absence de feuille sur ses jambes.

Le corps a été retourné (sinon bougé, mais rien n’accrédite un déplacement). Il était coté droit collé au sol sur le visage et le torse. La jambe droite était déjà dans cette position, la jambe gauche devait être posée dessus, elle s’est dépliée en retournant le corps. Un peu comme en « PLS - position latérale de sécurité ».
Le corps a été probablement retourné par traction de la main gauche.
Les écoulements de sang sur le visage accrédite une blessure vers la tempe gauche.

Djellaba ?
Rien ne permet d’indiquer le détail de ses vêtement sous sa veste grise, et l’autre noire. Gilet pare-balle ? Djellaba ? Pourquoi pas.

L’autopsie parle d’impacts de balles :
Doit-on comprendre les impacts a travers le gilet pare-balle ? On sait que les tirs a travers un gilet pare balle sont durement ressentis par son porteur.
La balle ayant traversé l’abdomen et le pancréas, tiré de la droite vers la gauche (le contraire de la balle à la tempe). Elle a pu passer sur le coté du Gilet, par l’ouverture sous le bras droit. D’où la flaque de sang...

Mais là aussi, ils jouent au billard a trois bandes.
Cela va donner à Manuel Valls une excuse inespérée pour nettoyer profondément la DCRI et autres organismes cousins. Et Tant mieux !

Dans la version « avocate », dans les transcriptions, c’étaient son officier traitant DGSE qui l’avait manipulé pour l’envoyer communiqué avec « ses frères » d’Algérie, Irak etc...

Dans la version Tf1, c’est lui qui a essayer de prendre contact avec ses frères, en Algérie, en Israël, en Afghanistan et à chaque fois il s’est fait arrêté, sauf en France.

Une des deux versions est fausse, et est un essai de déstabilisation.

Bien sur, des autorités, de la hierarchie, etc...