Cité par le magazine Ruptures, l’économiste allemand Norbert Haering qui avait assisté à la présentation de ce document à Davos a publié une analyse instructive sur son blog sous le titre « Das Migrationsabkommen als letzter Sargnagel für die linken Parteien »(traduction en français : « L’accord sur les migrations, dernier clou du cercueil pour les partis de gauche »). Il y rapporte les propos entendus dans le groupe de Davos sur le sujet, à savoir que « le secteur privé a intérêt à attirer les talents du monde entier. Pour leur part, les gouvernements, dans l’intérêt de la compétitivité des entreprises, doivent changer le ton des débats en s’engageant pour les migrations. Pour sa part, la société civile (y compris les syndicats) comme garante de conditions de travail décentes, doit se considérer comme partenaire du secteur privé. »
Norbert Haering se réfère par ailleurs à l’économiste mexicain anti-libéral Raul Delgado Wise, l’un des meilleurs spécialistes du sud en matière migratoire. Après avoir mené de longues études sur la question des migrations sud-nord, l’économiste mexicain conclut que « le scénario soi-disant gagnant-gagnant, notamment martelé par la Banque mondiale, ne bénéficie en réalité qu’aux pays d’accueil, et plus précisément aux employeurs dans ceux-ci. »
De fait, Norbert Haering cite une étude de la Banque centrale allemande de janvier 2018 sur l’impact de l’arrivée en Allemagne de travailleurs venus de l’Est de l’UE : « l’immigration nette en provenance des États membres a été, ces dernières années, un facteur qui a fortement ralenti la hausse des salaires. »
On ne saurait être plus clair sur l’objectif final recherché….
Quoi qu’il en soit, le document onusien comporte 23 « objectifs » très détaillés (cf Pacte, page 7), parmi lesquels plusieurs soulèveraient sûrement des objections et des polémiques chez de nombreux électeurs français s’ils en étaient informés.
la photo qui réunit Macron et Pompidou est parlante : non seulement, ils viennent tous deux de la banque Rothschild, mais ils semblent tous deux paralysés par des secrets inavouables, connus des seules élites.
Pompidou a été élu malgré l’affaire Markovic, un proche d’Alain Delon qui aurait tenté de faire chanter l’épouse de Pompidou ; elle aurait participé à des orgies sexuelles et des preuves matérielles auraient existé. Pompidou a obéi à Rothschild, le franc a été désolidarisé de l’étalon-or, et les dettes de l’état français ont été négociées auprès du secteur privé.
Macron a montré son vrai visage lors de la fête de la musique à l’Elysée en juin 2018. En juillet, les infos sur Benalla ont enterré le président. Mais il continue à obéir à la finance ; il ne promet aux pauvres ... que l’argent des pauvres ! Tant qu’il ne touchera ni à L’ISF ni au CICE, il ne lui arrivera rien.
MACRON IS THE NEW POMPIDOU ... vive les gilets jaunes, vive le RIC !
@Gauloise très réfractaire Très bien l’idée de Salvini ! Je suis bien sûr pour un contrôle ANNUEL des empreintes. On a trop attendu pour réguler ça, et c’est maintenant nous qui payons les pots cassés et qui risquons de disparaître (la classe moyennement moyenne)