Je pense que vous inversez causes et conséquences.
C’est parce que nous avons été nuls, en particulier au niveau législatif que les entreprises US ont pu prendre autant d’avance.
J’avais déjà relaté sur ce site, qu’il y a 25 ans j’avais travaillé dans une startup pour créer un moteur de recherche.
Et que nous avions été condamnés au titre des droits d’auteurs pour avoir afficher des résultats de recherche tirés d’un site d’un journal francais (qui était pourtant clairement crédité)
Aujourd’hui sur ce même site, ils paient des ad-words Google pour remonter dans les recherches.
Même le RGPD est un « cadeau » fait au Gafam.
L’obligation d’avoir les « versions les plus à jour » des systèmes, oblige les utilisateurs à se réadresser à eux de façons régulières.
Bref : nous sommes passé totalement à coté de la « révolution numérique ».
« Il y aussi une »contribution« sociale qui fait que les dividendes financent le système sociale par différentes taxes cumulées à 17,2%.
En 1789 la révolution s’est rapidement trouvée impécunieuse.
Les révolutionnaires ont donc voulu la financer avec l’argent des autres : en l’occurence l’argent du clergé. »de l’argent il y’en a" pourrait être déjà leur slogan. Ils ont donc émis des assignats, gagés sur les biens du clergé devenus bien nationaux. En 1797, c’est la banqueroute : il a été émis 20 x plus d’assignats que la valeur des biens nationaux.
Il est courant chez certains de penser pouvoir financer leurs largesses par l’argent des autres. En toute bonne conscience évidemment. Mais rapidement, la réalité les ratrappe.