Voilà un article
vraiment remarquable qui mérite d’être intégré dans toute anthologie sur le
thème « Délire, déni de réalité et négationnisme ». Si vous n’avez pas
trop de temps à consacrer à sa lecture, je conseille de ne lire que la
conclusion (recopiée ci-dessous) qui n’est qu’enfilade de phrases vides. On est
dans l’intoxication par les mots.
En
conclusion, plutôt que de considérer Haïti comme un « territoire
perdu », il est essentiel de la reconnaître comme un espace vivant,
dynamique et en constante évolution. Haïti est un laboratoire unique
d’interactions culturelles, économiques et sociales, qui, malgré ses défis,
continue de produire des réponses originales et résilientes aux pressions
globales. En adoptant une perspective qui valorise son potentiel et ses
contributions, nous pouvons dépasser les discours réducteurs et contribuer à
une compréhension plus juste et équilibrée de son rôle dans le monde. Cette
relecture critique de l’histoire et des récits autour d’Haïti est non seulement
nécessaire mais urgente, car elle offre une opportunité de réinscrire le pays
dans une trajectoire de dignité et de prospérité.
Il est certain que le pouvoir rend fou et que, corruption et
magouilles ont été présentes depuis toujours dans toutes les organisations
humaines. Concernant NS, rappelons tout de même trois de ses plus brillants
faits d’armes que l’on aurait tendance à occulter :
1) La Ratification, par le Parlement français convoqué à
Versailles, du traité de Lisbonne en piétinant le résultat du référendum du 29
mai 2005.
2) L’Intervention militaire en Libye, destruction du pays sous
les bombes, et instauration de la charia. Il est responsable des dizaines de
milliers de morts.
3) Le rattachement de la France au commandement intégré de l’OTAN.
Ainsi, nos aviateurs ont-ils participé au bombardement de la Serbie (notre
allié de toujours), à la destruction de cibles civiles et le massacre
d’innocents.
Rappelons aussi une de ses magouilles de très vol qui échoua
: il fit nommer DSK à la direction du FMI, ce qui le plaçait sur une autoroute
menant à l’Elysée. L’opération échoua au SOFITEL de New York dans des conditions
étonnantes et non élucidées.
Conclusion : cet ignoble individu a déshonoré sa
fonction. Il aurait dû être jugé et incarcéré depuis des années au lieu de le
laisser continuer à parader dans les médias.
Comme l’avait dit Coluche : "Si les élections pouvaient
changer quelque chose, il y a longtemps qu’elles auraient été supprimées".
Donc : on reprend les mêmes arrivistes, sans convictions, et on recommence pour
faire la même politique. L’oligarchie endogame s’est donc une fois de plus
redistribué les postes. Ils sont tous tellement pourris qu’il n’y avait pas
d’autre solution possible.
Vivement l’effondrement final. Il n’y a pas d’autres solutions
pour sauver le pays.
Dans de pareilles circonstances de désaveu populaire, et
après consultation du peuple par référendum, le général de Gaulle avait
démissionné. C’est toute la différence entre le dernier grand homme d’Etat
français, fondateur de la Ve République, et un arriviste mégalomane,
mondialiste et qui n’aime pas sa patrie. L’Histoire le jugera sévèrement.