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Françoise Gazoduc

Françoise Gazoduc

Eplucheuse de cacahouètes.

Tableau de bord

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Derniers commentaires



  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 14:13

    Il ne s’agit pas d’un plagiat mais d’une adaptation.



  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:50

    Pour mieux se gaffer d’un Morice
    Tournicotant dans le bosquet,
    Sur les hautes branches d’un chêne
    Quelques dindons s’étaient planqués.
    En plein nuit, deplus, une lune cafteuse
    N’arrangeait pas du tout les plans du vieux rusé.
    Du haut de son perchoir, les volailles moqueuses
    Se poilaient en voyant le goupil désabusé
    Ce dernier n’avait pas qu’un tour dans sa musette
    Pour tromper la méfiance de ces gros emplumés
    Il voulait plaire à ceux qu’il aurait tant aimé
    Déchirer de ses crocs sans souci des arêtes.
    Il feignit de grimper se dressant sur ses cannes
    Fit semblant de clamser puis de ressuciter
    Jouant à la marelle faisant l’aéroplane
    Et bien sûr les gros piafs n’osaient pas roupiller
    Ayant les nerf tendus comme des cordes à violons
    Et comme hypnotisés par le fourbe Morice
    Les dindons du perchoir piquant ttous de la tpete
    Se sont évidemment cassés la margoulette.
    Les pauvrets dont l’excès de prudence fut fatal
    Ont fini dans l’buffet de l’aut’ qui avait la dalle.

    Moralité :
    C’est quand tu crains l’averse à l’abri d’un tilleul
    Que tu prends un boeing sur le coin de la gueule.



  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:46

    Vous n’aimez pas les fables de Pierre Perret ?

    Moi si.



  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:26

    Boule de Poils ronflottait sur sa chaise à porteurs
    Dodu, lascif, peinard, conscient de son bonheur,
    Quand une souris survint sortant de sa cabine
    Histoire de s’aérer un p’tit coup les tétines.
    Sur le chemin d’la plage le matou l’aperçoit
    Et s’apprête à lui faire le coup du père François.
    Il en fera un pâté, ou plutôt une quiche
    Et à fond les manettes, il lui cavale aux miches.
    Emportés par l’élan et la baskets qui fument
    Soudain, ils freinent sec, un clébard a surgi,
    Qui bien qu’un peu gâteux, un peu perdant ses plumes,
    Se lance à fond la caisse aux trousses du Mistigrti
    La souris épargnée se dit en fin de compte :
    Qu’il faille se faire becqueter par l’autre face de raie !
    Il est bien évident quand le récit s’estompe
    Que chacun court après son petit intéret.
    Moralité :
    On court, on court, c’est vrai, après l’argent, l’amour
    La jeunesse, on s’obstine à poursuivre du vent.
    Mais après mille tours on s’aperçoit un jour
    Que nos fesses jamais ne passeront devant.



  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:23

    Une chose que je ne comprends pas : sur le nouvel Agoravox on nous a donné la possibilité de mettre des images afin de détendre l’atmosphère et égayer ces articles et commentaires souvent profondément ennuyeux, alors pourquoi les censurer ?

Voir tous ses commentaires (20 par page)


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