Article insignifiant, on apprend même pas ce qu’est un racheumeuneu.
La séléction à l’entrée des boites existe depuis que les boites existent. Leur fond de commerce c’est les happy few et les beautiful peoples. Si ils commencent à laisser entrer n’importe quel pécore désargenté, c’en est fini du business.
Si vous voulez être sur de rentrer en boite, allez faire un tour du coté du VIP à Bar le Duc. Vous y serez accueilli en prince arabe.
L’article est intérressant, mais le débat qui suit est foutrement pesant.
Puisque je m’incruste, je pose mon avis étronoïde avant de me replier sur moi même.
Je suis d’accord avec Mr West quand il dit qu’en matière d’art, tous les droits sont accordés à ceux qui créent. A quoi j’ajoute, paraphrasant un auteur de BD qui a récemment expérimenté les limites de la liberté d’expression du médium graphico-narratif à phylactères incorporés : « La liberté de ta gueule s’arrête la où commence celle de ma main ».
En substance, chacun est libre de porter préjudice, fut-il artistique, à autrui, tant qu’il accepte d’en assumer les conséquences.
Donc Twombly à le droit d’être mécontent, les collectioneurs ont le droit de surcoter un geste artistique et d’acheter un concept au prix du platine raffiné, Rindy Sam a le droit de tous les renvoyer à leur médiocrité.
Enfin, puisque je n’y connais pas grand chose à l’art pictural contemporain, mais que je m’y entends plus en vandalisme graphique, j’ajoute à l’intention de mjolnir que le geste des graffeurs, ceux de la station Louvres en particulier est bien plus engagé, créatif et stimulant pour notre culture contemporaine que celui qui a constitué à remplir cete station de mauvaises reproductions à l’intention des touristes japoniais. Le graff, et plus généralement le street-art, mérite beaucoup plus qu’une mention dans les rubriques de faits divers ou les statistiques de la délinquance.
Voila, quelques octets inutiles de plus apportés au débat.
L’article est intérressant, mais le débat qui suit est foutrement pesant.
Puisque je m’incruste, je pose mon avis étronoïde avant de me replier sur moi même.
Je suis d’accord avec Mr West quand il dit qu’en matière d’art, tous les droits sont accordés à ceux qui créent. A quoi j’ajoute, paraphrasant un auteur de BD qui a récemment expérimenté les limites de la liberté d’expression du médium graphico-narratif à phylactères incorporés : « La liberté de ta gueule s’arrête la où commence celle de ma main ».
En substance, chacun est libre de porter préjudice, fut-il artistique, à autrui, tant qu’il accepte d’en assumer les conséquences.
Donc Twombly à le droit d’être mécontent, les collectioneurs ont le droit de surcoter un geste artistique et d’acheter un concept au prix du platine raffiné, Rindy Sam a le droit de tous les renvoyer à leur médiocrité.
Enfin, puisque je n’y connais pas grand chose à l’art pictural contemporain, mais que je m’y entends plus en vandalisme graphique, j’ajoute à l’intention de mjolnir que le geste des graffeurs, ceux de la station Louvres en particulier est bien plus engagé, créatif et stimulant pour notre culture contemporaine que celui qui a constitué à remplir cette station de mauvaises reproductions à l’intention des touristes japoniais. Le graff, et plus généralement le street-art, mérite beaucoup plus qu’une mention dans les rubriques de faits divers ou les statistiques de la délinquance.
Voila, quelques octets inutiles de plus apportés au débat.